La crise anglophone complique les relations entre le Cameroun et certaines puissances.
Des faits répétitifs font croire que le régime de Paul Biya fait du soutien à l’extérieur. Entre les sonnettes d’alarmes désorganisations d défenses de droits de l’homme et les positions des diplomaties occidentales, Paul Biya et ses conseillers se débattent pour redorer le blason.
Il faut donc noter que plusieurs actes diplomatiques posés ces derniers temps voilent à peine la volonté de certaines puissances occidentales de voir Paul Biya partir de la tête du Cameroun.
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L'ex-ministre des Postes et Télécommunications JP Biyiti Bi Essam récemment nommé ambassadeur en Israël vient de voir ses lettres d’accréditation rejetées par le gouvernement israélien. Si les raisons de ce refus n'ont pas encore été évoquées, il semble d'abord que c'est la personne même de l'ancien ministre qui est non grata à Tel-Aviv. Selon certaines confidences, les Usa auraient soufflé un mauvais mot à leur allié Israélien au sujet de ce diplomate Camerounais.
Un autre fait. Mardi dernier, l'équipe militaire féminine du Cameroun qui comptait participer à un tournoi au Texas, (USA ) n'a pas obtenu le visa de la part de l’ambassade des USA à Yaoundé. Malgré la plaidoirie du ministre de La Défense, puis de son homologue des relations extérieures, l'ambassadeur des Usa à Yaoundé est resté de marbre.
