• Des jeunes camerounais auraient gagné 13 milliards en pariant sur 1XBET
• Les langues se délient depuis, face au refus de la société de payer
• Un reportage de Vision4 vient en rajouter une couche
Dans un reportage, Vision4 a donné la parole aux jeunes qui affirment avoir gagné 13 milliards en pariant sur 1XBET et aux responsables de la société.
Dans le reportage, la parole a été donnée aux différentes parties. Chacun a essayé de donner ses arguments.
Mais dans le reportage ci-dessous, le journaliste de Vision4 a dans ses commentaire, dénigré les jeunes gagnants et tenté de donner raison aux responsables de la société 1XBET.
Nos sources indiquent également que l'agence trouvant le montant trop important, a dans un premier temps refusé de paye. Mais face aux pressions des parieurs qui se sont mobilisés pour la cause du jeune homme, elle fini par proposer de payer une partie du gain.
"Le gagnant a fait un pari en ligne hier en combinant plusieurs matchs de football parmi lesquels celui de Paris, de la Roma etc. en misant seulement 90 FCFA via son compte Mobile money. Le total du gain se chiffrait à 13 milliards 650 millions de Fcfa. À l'issue des matchs qu'il a choisis, il s'avère qu'il est gagnant…", écrit le journaliste Paul Chouta qui précise dans une publication que le jeune homme aurait reçu n coup de fil à 21h lui disant que le compte est saturé et qu'il attende 30 minutes pour qu'on le libère, parce que le réseau connaissait des perturbations.
"Les 30 minutes passées, toujours pas de changement. C'est ainsi qu'il se rend ce lundi dans le point 1XBet de l'avenue Kennedy à pour réclamer son argent. Une fois sur les lieux, on lui fait comprendre que son numéro n'a jamais existé pourtant le parieur affirme avoir les preuves des différentes transactions. Quelques minutes après on lui propose la somme de 400 millions de Fcfa il refuse en réclamant son argent, alertées, plusieurs personnes ont accouru à niveau de 1XBet agence de l'avenue Kennedy pour savoir ce qui se passe. Jusqu'ici, ils n'ont toujours pas trouvé un terrain d'entente", ajoute Paul Chouta.