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2 anciens directeurs français de la BICEC bientôt en prison

Banque Internationale Du Cameroun Pour L’épargne Et Le Crédit BICEC Ils sont accusés de complicité d’abus de confiance et escroquerie aggravés

Tue, 18 Jul 2017 Source: 237online.com

Inculpés, deux de ses anciens directeurs généraux français sont visés par un mandat d’arrêt international. Le procès de l’affaire doit s’ouvrir au Cameroun le 20 juillet. Un an après le dépôt d’une plainte par la direction de la BPCE, filiale camerounaise du groupe Banques populaires-Caisse d’épargne (BPCE), la juge d’instruction camerounaise chargée de ce dossier a transmis les conclusions de son enquête au tribunal de grande instance du Wouri, à Douala, la capitale économique du Cameroun. Un procès doit s’ouvrir le 20 juillet. Quinze personnes sont inculpées, dont deux ressortissants français: Pascal Rebillard, directeur général de la BICEC (Banque Internationale du Cameroun pour l’Epargne et le Crédit) de 2008 à 2012, et Pierre Mahé, qui lui a succédé de 2012 à 2015. Tous deux sont accusés de complicité d’abus de confiance et escroquerie aggravés, de complicité de faux et usage de faux en écriture privée ou de commerce.

Inculpés, deux de ses anciens directeurs généraux français sont visés par un mandat d’arrêt international. Le procès de l’affaire doit s’ouvrir au Cameroun le 20 juillet. Un an après le dépôt d’une plainte par la direction de la BPCE, filiale camerounaise du groupe Banques populaires-Caisse d’épargne (BPCE), la juge d’instruction camerounaise chargée de ce dossier a transmis les conclusions de son enquête au tribunal de grande instance du Wouri, à Douala, la capitale économique du Cameroun. Un procès doit s’ouvrir le 20 juillet. Quinze personnes sont inculpées, dont deux ressortissants français: Pascal Rebillard, directeur général de la BICEC (Banque Internationale du Cameroun pour l’Epargne et le Crédit) de 2008 à 2012, et Pierre Mahé, qui lui a succédé de 2012 à 2015. Tous deux sont accusés de complicité d’abus de confiance et escroquerie aggravés, de complicité de faux et usage de faux en écriture privée ou de commerce. La juge d’instruction précise dans son ordonnance de renvoi qu’ils n’ont pas « cru devoir déférer aux convocations » qu’elle leur a adressées au cours des derniers mois. Les deux hommes résident en France. Un mandat d’arrêt international a été émis contre eux le 8 mai 2017.

Source: 237online.com