Nathalie Yamb, la dure à cuir née en Suisse, vient de faire une autre révélation de taille sur le réseau social X. La militante politique panafricaine pro-Kremlin, influenceuse, et vidéaste web helvético-camerounaise, ne mâche pas ses mots. Elle est justement connue pour ça.
Nathalie Yamb a partagé sur son compte que « 60 millions d’euros, ce serait le prix que Paris a payé pour faire libérer ses 4 agents déstabilisateurs de la DGSE arrêtés au Burkina Faso en 2023 ».
Selon elle, c’est un bon tarif, « à retenir pour application dans toute l’AES, où les espions occidentaux pullulent. Pour une fois que l’argent ne va pas dans les caisses des terroristes, mais dans celles de l’État ».
Un intervenant lui répond que « nous ne pouvons pas les obliger à nous aimer, mais ils seront obligés de nous respecter. Dans l’AES, nous imposons le respect. Finie la diplomatie de façade, de make-up et de filtre. Le destin des peuples sans courage c'est d'être dominé et exploité éternellement. Les vaillants peuples et les courageuses autorités de l’AES ont pris leur destin en main. Merci à Manu qui est notre "mal nécessaire". Il a bien compris la leçon. Les opérations se poursuivent... ».
À Yamb de compléter que les contribuables français devraient s’émouvoir qu’on gaspille ces sommes là pour 4 bras cassés d’espions qu’on a envoyés pour déstabiliser un pays étranger, au lieu de les injecter dans l’économie française pour améliorer le quotidien des gens.