La situation serait invivable à Namé Recycling. Un employé dénonce les traitements que la direction de la société fait subir aux employés. Avec plusieurs mois de salaires impayés, certains employés perdent leurs femmes et enfants. Un des employés s’est confié à Boris Bertolt.
« Ce Monsieur s'appelle NTEMDIEU Namégni Roblain directeur général de NaMé RECYCLING ce monsieur fait dans l’industrie du recyclage plastique ce monsieur est en contrat avec les brasseries du Cameroun et de nombreux partenaires qui injecte des finances pour lui mettre au sommet de son art. Depuis plusieurs années nous employé on a tout perdu le goût de la vie, nos familles, nos domiciles à cause du nom payement de salaire depuis plus de 06Mois.
C'est avec le coeur sur la main que je vous parle ma femme et mon enfant m’ont quitté pour vivre loin de tout ça. Ce Monsieur de janvier à juin n'a payé aucun employé tandis qu'il y avait d'énormes entrées de la SABC et de nombreux partenaires, avec une production exponentielle de strap PET et palette ce monsieur nous avait promis nous payer le 31 Mai du Mois dernier au Moins 03 Mois des 05 impayés mais ce monsieur ne l'a pas fait, sans délégué du personnel alors une forte mobilisation du personnel ( administration, production, tri, laveuse) ont décidé d'exprimer leur Ressenti avec une grève pacifique aucune casse rien juste une réclamation verbale du salaire de tout les employés.
A son arrivée il nous a fait des menaces disant ainsi appeler la gendarmerie pourqu’elle nous expulse tous de son entreprise, puis une discussion avec le personnel employé il nous a dit qu'il a fait un virement de deux mois le 31 Mai mais personnes n'ayant reçu de confirmation de la banque montrant le virement à interpellé les avis.
Le personnel a reçu 02 Mois donc un 1er virement le jeudi de la semaine dernière, celui de janvier et 01 deuxième virement 01 Mois d'impayé est arrivé le vendredi de la même semaine pour le compte de février ceci noté juste pour une partie du personnel, et l'autre partie a reçu les deux virements lundi dernier pour le compte de janvier et février.
Ce Monsieur nous a tout volé les enfants n’ont pas pu aller à l'école les enfants non pas pu se nourrir, nous même y compris ce monsieur est vraiment sans cœur. Pour couronner le tout il nous à porté des plaintes lundi dernier à la gendarmerie nationale a l'état major deuxième région où il nous a collé des motifs tels qu'on a promis la mort aux employés qui oseraient travailler, tentatives d'incendie, grève sauvage , sabotage des machines, ainsi que le manque à gagner de 20millions de FCFA par jour d'arrêt de production. Jusqu'à présent on ne sait à quel saint se vouer juste en prière que Dieu nous donne la force de tenir et que la justice soit faite.»