518 Tchadiens victimes de crimes rituels au Cameroun, un politicien du Tchad accuse

Takilal Ndolassem, conseiller national et Président fondateur du Front populaire pour la révolution, un parti politique au Tchad, vient de porter de très graves accusations contre les autorités camerounaises.

A l'occasion d'une sortie, Monsieur Ndolassem a dévoilé que plus de 500 Tchadiens assassinés au Cameroun ces derniers mois, n'avaient pas tous leurs organes en place.

L'homme politique affirme sans ambages que ces crimes sont des crimes rituels et déplore que ce phénomène soit en train de devenir un véritable problème pour les Tchadiens qui vont envoient souvent leurs enfants pour aller étudier au Cameroun.

"Nous avons eu 518 Tchadiens qui sont morts au Cameroun. Les derniers sont morts il y a 4 jours. On est en train de leur prélever leurs organes. On les tue pour leur prélever leurs organes. Quand l'on rend les corps, il y a les organes qui manquent", a déclaré Takilal Ndolassem, conseiller national et Président fondateur du Front populaire pour la révolution.