• Bruno Bidjang va quitter l'ESSTIC
• Il l'a annoncé ce jeudi
• C'est une annonce faite suite à la suspension de la procédure de parrainage dont Jean Pierre Amougou Belinga a été choisi
Bruno Bidjang a annoncé son intention de quitter l'ESSTIC après que le Directeur de l'institution ait fait surseoir la procédure de parrainage.
L'information de cette suspension a fait l'objet d'un communiqué officiel publié par l'ESSTIC. A la base, les étudiants ont choisi Jean Pierre Amougou Belinga comme parrain de la 53e promotion.
Sous le coup de la colère après l'annonce de suspension de la procédure, Bruno Bidjang a annoncé son départ de l'école. Il s'est confié sur sa page officielle Facebook.
« Je tiens à rappeler que chaque année, ce sont les étudiants qui choisissent délibérément leur parrain depuis la création de l’ESSTIC. Le choix est ensuite porté à l’attention de l’administration qui prend automatiquement acte. Cette année, ce sont les étudiants qui de surcroît sont mes camarades qui ont porté leur choix sur M Jean Pierre AMOUGOU BELINGA. Le président de la promotion lui a adressé à cet effet une lettre qui date de près de deux mois aujourd’hui. C’est même après beaucoup d’hésitation et de réflexion que le patron de Vision4 a répondu favorablement à cette demande. Il n’a rien demandé et n’en voulait même pas », explique le journaliste.
« Je rappelle au passage que l’ Institut Supérieur des Sciences, Arts et Métiers (ISSAM) de SM Jean Pierre AMOUGOU BELINGA compte plus 2500 étudiants de différentes filières, contre une cinquantaine de l’ESSTIC où il a été sollicité. Alors il n’a rien mais alors absolument rien demandé. Et personne ne pourrais nier les qualités du meilleur manager de médias privés de Jean Pierre AMOUGOU BELINGA au Cameroun, dans la sous région Afrique Centrale et même en Occident à travers Telesud », rappelle Bidjang.
« Si j’étais retourné à l’Esstic, c’est parce que je devais achever ma formation débutée il y’a quelques années là-bas. Et je croyais en l’objectivité de cette école. Mais aujourd’hui, je découvre les guerres de clans qui s’y sont implantés et c’est bien Dommage. Je mets donc un terme à ma formation dans cette école, et j’irai l’achever à l’ISSAM avec fierté. On ne peut pas vouloir traîner le nom de patron dans la boue, et je continue dans cette école comme ci de rien n’était. Merci à tous mes camarades qui m’ont bien accueilli et désolé si notre aventure se termine de manière aussi précipitée », a-t-il conclu.