Abomination au Cameroun: un pépé surpris en pleine action avec une fillette en brousse

Bebwambe semble sombrer dans une barbarie innommable, s'assimilant peu à peu à ces contrées maudites où sévissent les pires sévices. L'endroit prend des allures de sanctuaire macabre où se repaît une prédation immonde sur l'innocence même, dévorant la chair fraîche d'âmes pures, incapables de se soustraire à l'emprise monstrueuse de leurs bourreaux.

Une vidéo, d'une atrocité virale, circule désormais sur les réseaux sociaux. Elle capture l'indicible: le nommé Mangache, un individu de Bebwambe, en train de perpétrer un viol abject sur une enfant à peine âgée de six ans. Il a été surpris en pleine action, terrée dans les broussailles du village, par des jeunes gens horrifiés.

Cette séquence insoutenable lève le voile sur un crime absolu, une souillure inexpiable qui doit être fustigée et condamnée avec la dernière rigueur à tous les niveaux de la société et de la justice, la pédophilie étant un fléau réprimandé par la loi camerounaise.

Comment qualifier, sinon par les termes les plus crus de la perversion et de la démence, un acte aussi diabolique ? Il s'agit là d'une profanation du sacré, d'un anéantissement de l'enfance par la sauvagerie la plus vile.

Ce vieux Mangache est-il un prédateur invétéré, un habitué de ces exactions infâmes au sein de la communauté ? Si tel est le cas, une interrogation glaçante s'impose : pourquoi un silence complice étouffe-t-il les cris des victimes ?

Pourquoi l'omerta et la honte paralysent-elles celles et ceux qui devraient être protégés et écoutés ? Cette chape de plomb est le terreau même où prospère l'impunité des monstres.

Une enquête des plus rigoureuses se doit d'être ouverte dans les plus brefs délais. Il n'est pas seulement question de justice, mais d'urgence sanitaire et morale.