Accusé d'être le garçon pour lequel les 6 filles ont massacré leur copine, Wilfried Ziem répond

Au Cameroun, l'affaire des 6 filles qui ont tabassé et fait vivre l'enfer à leur copine à cause d'un garçon continue de secouer la toile.

Il y a quelques heures, des images d'un jeun garçon du nom Wilfried Ziem de font le tour, avec des commentaires l'accusant d'être le jeune homme pour qui les jeune filles ont massacré leur copine.

Dans une mise au point publiée sur les réseaux sociaux, le jeune homme n'est pas celui pour qui la jeune fille a été massacrée par ses 6 copine.

Par ailleurs, la jeune fille tabassée n'est pas morte comme le disent les informations diffusées sur les médias et sur les réseaux sociaux.

"Ce garçon dont les photos circulent partout sur la toile n’est pas le garçon pour qui ces 06 filles ont tabassés leur camarade. Celui sur ces photos est un jeune élève de 19 ans en classe de 1ere A4 il s’appelle WILFRIED ZIEM. Prière de partager l’information et d’arrêter de lui prendre pour coupable. Il n’y est pour rien et ne connais aucune de ces filles. Gloire à DIEU la fille est toujours vivante", écrit une source.

Depuis quelques heures, une vidéo en circulation sur les réseaux sociaux, montre un groupe de jeunes filles torturer une de leur camarade. La victime sans défense est longuement tabassée par ses bourreaux. Ses habits sont déchirés. Pour l’humilier, elles ont coupé ses cheveux et tout prenant soin de la mettre à genoux. Selon les révélations du lanceur d’alerte N’zui Manto, l’adolescente serait également aspergée d’un liquide inflammable.

La jeune fille torturée par ses camarades a été pigée par ses dernières. Elles lui reprochent d’avoir sorti avec le petit ami d’une fille du groupe. C’est donc pour se venger qu’elle a été conduite dans la maison où elle été victime de toute formes sévices. Les internautes s’interrogent sur l’attitude peu ordinaire de ces jeunes filles. Certains estiment qu’elles avaient agit sur l’effet de la drogue alors que d’autres penchent pour les conséquences une mauvaise compagnie. D’autres encore remettent en cause le système éducatif camerounais qui fabriquerait de petits démons sans conscience.