• Le vol prend de l’ampleur à Douala
• Une ménagère a joué un sale coup à son employeur
• Elle est activement recherchée
C’est encore un cas de vol qui choque toutes les personnes auxquelles la nouvelle est parvenue. Une personne employée dans une maison et qui avait toute la confiance de la famille employeuse, a subitement disparu avec une importante somme prise et cachée dans son sac. Les membres de la famille qui habitent la maison sont tous surpris et ne comprennent pas ce qui a bien pu motiver la jeune femme.
Le lanceur d’alerte Nzui Manto a eu l’information en premier. Il a vite fait de la relayer sur les réseaux sociaux, par le biais du canal qu’il a l’habitude d’utiliser, avec un ton humoristique qu’on lui connait très bien. Les internautes sont sans voix. D’autres parmi eux préfèrent rire. Et pour cause, le style de narration de l’informateur est tout sauf ennuyant.
Les faits se sont déroulés dans la capitale économique du Cameroun, Douala : « Schéma info. Douala. Une ménagère nouvellement embauchée chicotte 500 kolos à la maison et prend une violente tangente », commence-t-il.
Pour être tout à fait précis, la voleuse s’appelle Ndamo Emilienne. C’est une Camerounaise dont on ignorait les compétences de malhonnêteté et qui a surtout pris le soin de ne pas mentionner ses aptitudes de voleuse dans son CV.
« Ndamo Emilienne est recherchée par les éléments de la brigade de Ndogbong où une plainte a été déposée contre cette dernière », informe le Camerounais susmentionné.
Il la présente comme une fille qui aime le travail : « Travailleuse, assidue et sérieuse, tels sont les adjectifs qui qualifiaient Emilienne dans son CV présenté à son patron ».
« Engagée, la nouvelle ménagère sillonnera le domicile dans ses coins et recoins. Une reconnaissance du terrain qui lui permettra de cibler la somme de cinq cent mille (500 000) francs CFA somnolant dans une cachette », précise Nzui Manto.
Sans hésiter, « la nouvelle ménagère n'aménagera pas ses efforts pour nettoyer les 500 kolos et disparaître dans la nature. Damba na sense, la vie c'est les schémas ».