Voici la moralité de l'histoire de mœurs dans laquelle les noms de Fomekong et Georges Dougueli ont été cités: quand on associe son nom et son image à celle d'un pervers-narcissique-clivant comme Eto'o, on n'en sort pas indemne.
Autrefois, Georges Dougueli était un journaliste respecté. On ne parlait de lui dans les réseaux sociaux que pour commenter et saluer les textes succulents et plein d’érudition qu'il publiait dans les colonnes de Jeune Afrique.
Aujourd'hui, le bon journaliste n'est plus qu'un pauvre et vulgaire propagandiste et zélateur de Samuel Eto'o.
Et ce qui devait arriver arriva. Il se bat dans les réseaux sociaux avec toutes sortes de quidams dont certains, en temps normal, ne peuvent même pas lire et comprendre ses textes.
Sa vie privée est dans la rue et son honneur jeté aux chiens, obligeant son épouse (la pauvre) qui n'a rien demandé à personne, à sortir de sa discrétion pour venir faire un démenti qui ne dément rien. Parce que le mal est déjà fait.
La vérité est que Eto'o salit tout ce à quoi il s'approche. Lisez son histoire et tirez-en de la graine. Ce qu'on gagne derrière lui en quelques billets de banque, on le perd en crédibilité et en respectabilité. Hélas !