Fridolin NKE vide son sac dans le dossier de Martinez Zogo. Il s’en prend à Rémy Ngono et Calixthe Beyala
LA « RÉSISTANCE » DES CRIMINELS
« Le changement de veste philosophique » (Épisode 2/10)
Les premières leçons de l’Assassinat de Martinez Zogo : Rémy Ngono et Calixthe Beyala
Les philosophes utilisent un outil spécifique pour analyser les événements historiques et pour comprendre la vie : c’est le doute. Pour douter de manière efficace, il faut savoir prendre ses distances avec l’opinion et ses sens, car ils nous trompent souvent.
Un penseur ne suit jamais totalement l’opinion, parce qu’il sait que l’opinion pense mal ; c’est le premier obstacle qu’il faut surmonter (Bachelard) pour commencer à comprendre réellement ce qui se passe devant les yeux ou ce qu’on entend. C’est en copiant cette attitude de méfiance raisonnée du philosophe devant le pilonnage des médias, que les citoyens d’un pays peuvent échapper à la désinformation, à la manipulation des masses et, finalement, entamer le chemin difficile de la découverte de la vérité. Telle est l’attitude requise actuellement.
Maintenant que Jean-Pierre Amougou Belinga est en sécurité dans les geôles de son ami, Laurent Esso, selon les vérités gombotisées des journaleux corrompus de l’Hexagone, le Gai (ou Gay ?) de Paris, Rémy Ngono ;
Maintenant qu’Amougou Belinga vient de payer ses dettes envers Dieu, non pour l’assassinat de l’animateur de l’émission « Embouteillages », mais pour ses déclarations irresponsables et ses agissements irréfléchis qui, depuis des années, ont non seulement causé du tort à plusieurs compatriotes, mais aussi rempli la jarre de haine tribale qui tient lieu de cœur chez des frères hégémonistes, fourbes et hypocrites ;
Après une cabale médiatique internationale inédite contre ce citoyen et son embastillement aussi spectaculaire qu’irrégulier,
A-t-on obtenu la fameuse JUSTICE POUR MARTINEZ ZOGO ?
Je réponds : Non ! Non ! Non ! Seuls les rancœurs, la haine, la corruption et le tribalisme ont gagné ! Il est certain que les Camerounais sont très divisés depuis l’horrible assassinat de Martinez Zogo. Mais une chose est plus vraie encore : les différents clans en lutte pour succéder à Biya se sont neutralisés. C’est le match nul à la mi-temps… Seuls les naïfs croient encore en la perspective d’une justice pour qui que ce soit dans ces conditions. Sur l’affaire Martinez Zogo, la vérité est résumée dans ces mots de la rue : « NOUS SOMMES DANS LE NDEM ! »
Quelles sont les premières leçons à tirer devant notre échec à faire pression pour rendre justice à Martinez malgré l’agitation stérile et contreproductive de quelques influenceurs baveux vendus à la mafia criminelle qui pille notre pays et éventre nos concitoyens ? Il est temps qu’on expose d’abord la figure hideuse des Conspirateurs de la haine qui ont entravé notre chemin (I), qu’on présente aussi les artificiers de la Résistance des Criminels qui conduisent la lutte cybernétique aux allures tribales contre le pouvoir en place à Yaoundé (II) et, ensuite, qu’on dévoile, aux yeux de tous, les péchés du « Peuple » de la Renaissance des Criminels dont les agissements grossiers sont la véritable cause de notre échec non seulement à obtenir justice pour Martinez Zogo, mais plus généralement à nous défaire des satanistes qui écument notre pays (III).
I- Les Conspirateurs de la haine et de la distraction : Rémy Ngono et Calixthe Beyala, la Garce de Paris
La presse et les médias en général, considérés en République comme le quatrième pouvoir, dans notre pays, sont un démembrement du pouvoir politique qui les manipule à sa guise, contre du fric et d’autres avantages innommables. La télévision, la presse et les réseaux sociaux se transforment donc en autant de médias de la déroute et les activistes en ligne, de simples manipulateurs cupides à la solde des clans au pouvoir et de groupes mafieux qui dépècent (découper avec méthode) le pays et ses citoyens en petits morceaux. Depuis le déclenchement de l’Affaire Martinez Zogo, outre Équinoxe Télévision et Reporters Sans Frontières, deux acteurs en particulier ont également manœuvré dans des officines noires pour torpiller toutes nos actions en vue de l’éclosion de la vérité sur l’assassinat effroyable de cet animateur. Il s’agit de J. Rémy Ngono et de Calixthe Beyala.
1. Rémy Ngono : le Gai(Gay) Mythomane de Paris
Après qu’il est avéré qu’il n’y avait pas de Prado loué à Douala par le beau-père du PDG de Vision 4 ;
Après qu’il est établi qu’aucune société dite Rangers security n’existe dans cette affaire et qu’aucun propriétaire de société de location des « Prado » n’a été tué parce qu’il aurait refusé l’argent proposé par Amougou Belinga pour maquiller les traces de sang imaginaires trouvées dans la voiture tout aussi imaginaire prétendument louée ;
Après qu’on sait que J. Rémy Ngono, la femmelette de Paris, a bien « mangé avec » le cadavre de son « Fils », Martinez Zogo, recevant et publiant en avance le scénario de son assassinat de la part des vrais commanditaires ;
Après qu’il est établi que le Gai de Paris a reçu 80 000 000 (quatre-vingt millions FCFA) de rétribution suite à cette trahison et pour noircir, aux yeux de l’opinion, tous ceux qui sont réfractaires à la manipulation politico-judiciaire en cours ;
Après que l’« Informé », le Cupide de Paris, J. Rémy Ngono donc, a été écorché vif par la Vérité implacable, son rôle n’étant pas d’aider à identifier les assassins de Martinez Zogo, mais plutôt de brouiller les pistes et de travailler uniquement à l’arrestation d’Amougou Belinga et de contribuer à la neutralisation du clan auquel ce dernier appartient dans le régime ;
Après que la mafia qui a assassiné Martinez Zogo a recruté une meute enragée de haineux, d’influenceurs tribalistes, influenceuses de sexe et d’artistes aux beautés artificielles, pour installer cette « vérité » fabriquée, mieux, ce mensonge sucré dans la tête des Camerounais, nous savons désormais, de manière quasi certaine, de façon biblique, que le commanditaire de l’assassinat de Martinez Zogo n’est pas Amougou Belinga, contrairement aux mesquineries de la Garce de Paris.
Calixthe Beyala, la Garce de Paris
Lorsqu’à l’insistance de Jean Bahebeck j’ai consenti à intégrer Calixthe Beyala dans le Projet « Citoyens Camerounais » que je conduis, j’avais été frappé par deux attitudes dans le comportement de cette dernière. Au cours de nos premiers échanges, elle s’entêtait à me démontrer que seul un coup d’État pouvait nous tirer d’affaire au Cameroun et elle était convaincue que c’était imminent. Malgré mon insistance, elle ne voulut jamais me dévoiler les modalités du coup de force et la forme qu’il prendrait ; elle se contentait de me dire que je verrai de mes yeux. De plus, elle était toute acharnée contre un dignitaire du régime en particulier : Samuel Mvondo Ayolo. Pendant plusieurs jours, elle me transféra, via l’application WhatsApp, une série de publications malveillantes portant sur l’infortuné. Je ne comprenais pas un tel acharnement. Je l’avais alors interrogée et elle m’avoua qu’elle avait eu une idylle avec le bonhomme et que cela s’était terminé mal. J’avais poursuivi mon interrogatoire pour savoir les raisons de cette rupture amoureuse et pour en apprendre davantage sur le personnage, la cible de son animosité. Sa réponse m’avait laissé sans mot : « Mvondo Ayolo est radin et ils ont arraché mon terrain » !
Tel était donc le mobile de sa haine contre ce monsieur ! Telle était la raison supérieure de sa haine contre le pouvoir de Biya !
Cette attitude de garce avait édulcoré (dilué) la très maigre estime que son problématique rayonnement international avait provisoirement nourri en moi. Depuis lors, en mon for intérieur, j’avais été sidéré par la légèreté de ses convictions et de ses mœurs. À l’occasion, je lui avais attribué un surnom et enregistré son numéro dans mon téléphone avec cette référence : « La Garce de Paris ».
Dans l’Affaire Martinez Zogo, la Garce de Paris s’est découverte subitement des compétences de détective et de Procureur de la République, en désignant Amougou Belinga, depuis son Paris, comme étant l’Assassin de l’animateur d’Amplitude FM et de Mgr Jean-Marie Benoît Bala. On comprend qu’elle voulait, par ces déclarations alambiquées, justifier les dizaines de millions reçus des commanditaires de l’assassinat de Martinez Zogo.
II/ La Résistance des Criminels et leurs forfaits dans les réseaux sociaux
Maintenant que les haineux et tous les tribalistes sont rassasiés d’avoir enfin assouvi leur rancune tenace et leurs insatiables rancœurs contre Amougou Belinga ;
Maintenant que le tonitruant Gai de Paris, Rémy Ngono, s’avère n’être qu’un miséreux doublé d’un gueux ;
Maintenant que les lanceurs d’alerte gombistes détraqués ont bien rangé leur pactole (le gros argent) ensanglanté dans les banques ;
Maintenant que de ténébreux « Généraux » et autres « Amazones » spécialistes des nudes, avec leur front plissé de colère et de détestation, se sont retirés dans leurs maisons closes ;
Maintenant qu’elles retournent à leur activité favorite, à savoir, la débauche dans les rues européennes et la haine dans les réseaux sociaux ;
Maintenant que tous les tarés des réseaux sociaux, qui passent pour des gens respectables, se sont rassasiés de « Like » et de « Vues » ;
Maintenant que leurs mots envoûtants de calomniateurs impénitents s’anéantissent seuls devant la résilience du Temps ;
Maintenant que des Merdiers tribalistes, essoufflés de malchance, ont fini par déféquer (chier) en public ;
Maintenant que la meute ignare des suiveurs imbéciles est rassasiée de haine ;
Maintenant qu’il est établi que la haine contre Jean-Pierre Amougou Belinga et tous ceux qui, dans sa communauté, osent faire des affaires louches (comme les autres), n’est pas contagieuse ;
Maintenant que nous avons touché le fond de la malveillance, de la manipulation, de la délation et du sabotage juteux ;
Maintenant que le dégoût que m’a inspiré leur agressive cabale contre ma petite personne s’est dissipé dans mon cœur apaisé ;
Maintenant que leur museau de loups assoiffés de sang frais d’innocents s’est momentanément refermé sur leur dernière victime, MOI, le Douteur-en-Chef ;
Que leur reste-t-il ?
III/ Le « Peuple » de la Résistance des Criminels
On comprend tout : le « Peuple », c’est eux et leur petits « moi » ! Toutes les manigances, toutes les simagrées (manigances pour tromper les gens), tout le cinéma mortuaire autour des cadavres de valeur, comme celui de notre frère Martinez Zogo, comme celui de Mgr Bala, tout cela visait uniquement à chanter leur supériorité sociale, leur exclusivité humaine, la pureté revendiquée de leur mœurs ; tout devait concourir à renforcer leur délire victimaire et à asseoir dans les esprits leur « stigmatisation » fabriquée dans leurs cercles tribaux d’exclusion. Tout ça n’était motivé que par un agenda politique caché. Il n’y avait aucune sincérité dans le slogan : « Justice pour Martinez Zogo ! »
Tel est le degré de radicalisme, d’intolérance et de cynisme de la plupart de ceux qui se revendiquent de la fameuse « Résistance ».
Pourtant, il est constant qu’on n’élève la conscience patriotique qu’en éduquant les masses à la tolérance, à l’altruisme et à la contradiction des opinions ; on amène les citoyens à éprouver en soi la vérité qu’au travers du doute et de l’humilité qui conduisent à l’assurance vraie et à la mutualisation des forces productives en vue du développement économique.
Malheureusement, actuellement, les « Combattants » et le « Peuple », auto-proclamés, ne luttent pas pour l’épanouissement collectifs et l’intérêt général. Ils ont choisi de s’abrutir et de combattre toutes les autres populations pour prendre le pouvoir dans le noir complet et pour l’exercer dans le sang et au miroir des intérêts du Village.
C’est le « peuple » de cette Résistance des violeurs, des manipulateurs et des arnaqueurs qui s’exprime dans ces attaques contre les Douteurs que nous sommes ; ce ne sont pas des politiques avec un agenda intégrant toutes les visions segmentées des différentes couches sociales et des différentes régions, et qui tiendraient compte des intérêts contrastés des communautés qui forment l’État dans son ensemble. Nous avons plutôt affaire à un tas de crétins endoctrinés, radicalisés et dogmatiques, doublés de haineux, au verbe baveux, qui piétinent l’honorabilité des citoyens respectables à coups de diffamation, d’insultes, de stigmatisation et d’enfantillages nocifs.
Derrière leur sollicitude occasionnelle mimée, malgré leur face faussement avenante, prenez garde : ils ne compatissent point ; cramponnés sur leur cœur noir et leur tête dure, les Combattants du « Cœur du pays » ont décidé de sympathiser et de collaborer avec tous ceux qui ont opté pour l’éviscération (fendre le ventre) des citoyens courageux et intègres, pour pervertir leur goût de la liberté, pour travestir leur volonté du changement et pour entacher leur exemplarité.
De toute évidence, au vu de leur activisme aux prétentions nombrilistes et communautaristes, il ne sert à rien de les raisonner ou de s’expliquer ; il est inutile de regimber : ils fusillent ; ils canardent ; ils s’acharnent ; ils pressent… Une seule alternative est offerte aux rêveurs et aux âmes pleines d’attendrissements qui croient sincèrement au changement : chanter les louanges des Merdiers ou disparaître à jamais.
Qui va vous accepter ça ?
À suivre… « La Renaissance des Truands »
Fridolin NKE
Expert en discernement