C’est l’histoire d’une femme qui a été prise en flagrant délit d’adultère avec son amant. Le mari furieux a blessé l’étranger avec sa machette. Ce qui fut sa première erreur, selon ce que le blogueur Peupah Zouzoua explique ci-dessous.
Le mari de Mendomo na pas raison. Avant toute chose, le cas Mendomo relate l’histoire d’un chasseur qui de retour à son domicile, attrape son épouse Mendomo en plein ébats adultérins avec un jeune garçon de la vingtaine sur le lit conjugal. Ce dernier va donc saisir sa machette et attribuer un coup au jeune gigolo au milieu de sa tête, puis demander à ce dernier de continuer l’acte avec Mendomo à main le sol.
Le chasseur filme, le gigolo est en sang, Mendomo pleure, le chien aboie et le gigolo prend une tangente à la fin. Dieu merci il serait en vie et aux urgences. Alors on doit se demander : et si ce coup de machette arrachait à ce jeune homme son dernier souffle ? Serions-nous toujours face à une vengeance ou alors un crime passionnel ? Le mari serait-il toujours en liberté ?
Mendomo est fautive, ce n’est pas à discuter. Car selon le Code pénal camerounais, l’adultère est puni d’un à deux mois d’emprisonnement ou d’une amende de 25 000 à 100 000 francs CFA. Alors, le mari aurait pu se limiter à faire des preuves de l’adultère de son épouse et lui porter plainte car « il est interdit de se faire justice soit même ».
Maintenant ceux et celles qui vont dire que le mari a détruit l’image et la dignité de sa femme, désolé quand on se sait digne, on évite de commettre des actes indignes comme par exemple avoir des rapports charnels avec quelqu’un d’autre que son conjoint légal. On a récemment eu le cas d’une femme qui avait coupé le sexe de son mari à cause d’une infidélité, c’était drôle, risible, comique, juste. N’est-ce pas ?
Au fond, rien n’est normal dans cette histoire du moment où du sang a coulé. Oui sur le coup ça fait mal. Mais il suffit d’une seule seconde de colère pour tout perdre. La femme doit être punie, le garçon aussi, et le mari encore plus.
Rien que le fait de filmer la nudité d’autrui sans son consentement et rendre cela public, est tout autant condamnable. Il n’est pas le premier à se faire tromper. D’autres font comme ça et découvrent qu’ils n’ont aucun lien de parenté avec leurs enfants. Bref je parle même quoi ?.