Affaire Ngoh Ngoh : La manipulation a échoué

Ferdinand Ngoh Ngoh

Sun, 30 Oct 2022 Source: La Nouvelle N 674

Entre désinformation et manipulation à travers leur homme lige Boris Bertolt et leurs suppôts grassement rémunérés, la cabale orchestrée contre le secrétaire général de la présidence de la République s'est heurtée à une parfaite connaissance des Camerounais qu'affiche en tout temns le président Paul Biya.

Ferdinand Ngoh Ngoh est un sacré veinard. On peut le dire aujourd'hui que la tempête s'est apaisée. Tant l'homme a subi ces derniers temps, un flot de d'informations à son sujet dont certaines étaient difficiles à vérifier.

Que n'a-t-on pas entendu à son sujet. « Nous devons remercier un homme, le colonel Beko'o Abondo,commandant de la garde présidentielle. Car sans lui, le Cameroun se serait levé ce lundi avec un nouveau président : Ferdinand Ngoh Ngoh. Cette situation aurait été l'aboutissement d'un processus engagé depuis plusieurs années et dans lequel des expatriés, conseillers en sécurité du président Biya, jouent un rôle de premier plan », lance sans retenue le lanceur d'alertes Boris Bertolt qui soutient que « pour comprendre cette attitude de l'homme à la punk, il faut se rendre à l'évidence que : depuis des années un clan bâtit progressivement sa prise de contrôle des institutions et du pouvoir et il a à sa tête Ferdinand Ngoh Ngoh. » Il continue en attribuant à Ngoh Ngoh le contrôle de la police, la gendarmerie, le Bir, les aéroports, les ports, les notes de renseignement, la nomination des ministres et directeurs généraux de grandes entreprises qui ne rendent compte à lui seul.

Pour le lanceur d'alerte à la solde des persécuteurs de Ferdinand Ngoh Ngoh, « en plus de placer ses pions, le clan dispose des informations compromettantes sur la plupart des hauts commis de l'Etat.

L'acquisition du logiciel Pegasus qui permet d'espionner les communications des membres du gouvernement et des officiers supérieurs de l'armée camerounaise. » Tout ça pour un seul homme. On ne saut oublier ces cranes de bœufs balancés par les manipulateurs dans un carrefour à Nanga Eboko avec des photos du chef de l'Etat et de Ferdinand Ngoh. Tous ces petits manœuvriers de l'ombre feignent d'oublier une chose c'est qu'avec Paul Biya, la manipulation ne passe pas.

Source: La Nouvelle N 674