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Affaire de la TV sportive: une nouvelle tournure

Samuel Etoo With Guard Samuel Eto'o Fils

Tue, 11 Aug 2015 Source: cameroon-info.net

Le feuilleton du projet de télévision sportive attribuée à Samuel Eto’o Fils connaît un autre rebondissement. Cette fois, le nommé Oyas Nicolas Namur -qui aurait 35 ans et résiderait en France- entre en scène de façon fracassante. Il est propulsé au devant des projecteurs par Yolande Bodiong, la Directrice de la maison de production Maraboo, qui etait pressentie pour diriger la nouvelle chaine de television.

A la suite du démenti qu’elle publie le 10 août et dans lequel elle rejette toute implication dans le projet, elle publie des extraits de messages à lui envoyés via Messenger par cet individu qui se présente comme « un homme de média » propriétaire de cinq chaînes de télévision à travers le monde. L’on apprend en lisant ces messages Internet qu’il a eu à communiquer à David Eto’o, le frère cadet de Samuel et aussi un certain Didier, son projet de chaîne sportive afin qu’ils le présentent à l’ancien capitaine des Lions Indomptables du Cameroun.

Sauf qu’il restera ensuite sans nouvelles de son bébé jusqu’au jour où il apprend a travers les medias qu’Eto’o serait sur le point de lancer sa chaîne de télévision sportive. Pour celui qui affirme qu’il ne recherchait qu’un investisseur pour porter sa chaîne baptisée Africasport, c’est presque la désillusion. «David, Didier et Jimmy m’ont confirmé que Samuel Eto’o était intéressé, mais pas au point de me voler mon projet. J’aimerais simplement comprendre », écrit-il à Yolande Bodiong. « Juste savoir ce qui s’est passé », ajoutera-t-il plus tard. Il dit vouloir « régler ce litige à l’amiable avec Samuel Eto’o sans devoir passer par des avocats ou la presse ».

Le 29 juillet 2015, Oyas Nicolas Namur sollicite un entretien téléphonique « à 3 » avec Bodiong et Eto’o. L’homme menace de nouveau de contacter la presse et les chaînes de télévision afin de s’exprimer. Il n’a pas eu besoin de franchir le pas. Yolande Bodiong a presque fait tout le boulot.

Source: cameroon-info.net