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Des informations alarmantes émanant de sources confidentielles font état d'une menace grave qui plane sur des cadres du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) actuellement détenus à la prison centrale de Kondengui. Selon ces indiscrétions, des extrémistes liés au régime envisageraient sérieusement de recourir à des méthodes aussi inhumaines que l'empoisonnement pour mettre fin à la vie de ces prisonniers politiques.
Parmi les personnalités visées figurent Pascal ZAMBOUE, Coordonnateur National du MRC chargé de l'Implantation, dont l'épouse, Suzanne, a été tragiquement assassinée en septembre 2023, alors même que son mari était déjà en détention. Son fils, Cabrel ZAMBOUE, se trouve également derrière les barreaux de manière arbitraire et illégale, suite à l'assassinat de sa mère. Olivier BIBOU NISSACK, porte-parole de Maurice KAMTO, et Alain FOGUE TEDOM, récemment réélu trésorier national du parti, font également partie des cibles présumées.
Le motif derrière cette apparente persécution demeure flou et soulève des interrogations légitimes. Les personnes visées ont déjà été condamnées de manière arbitraire et illégale à une peine de 7 ans de prison ferme. L'acharnement persistant contre ces prisonniers politiques soulève des questions sur les motivations du régime à vouloir éliminer ces figures clés de l'opposition.
L'emprisonnement arbitraire de Cabrel ZAMBOUE, fils de Pascal ZAMBOUE, suite au décès de sa mère, démontre un manque de respect flagrant pour les droits légitimes des individus. De même, la détention d'Olivier BIBOU NISSACK et d'Alain FOGUE TEDOM souligne la répression persistante exercée à l'encontre des voix dissidentes au Cameroun.
La question cruciale demeure : quel gain le régime espère-t-il tirer de l'élimination potentielle de ces prisonniers politiques par empoisonnement ? Alors qu'ils sont déjà derrière les barreaux, cette mesure extrême soulève des inquiétudes quant à la volonté du régime de réduire au silence toute opposition, même en utilisant des moyens aussi inhumains.
Face à cette menace grave, il est impératif que la communauté internationale reste vigilante et exige la protection des droits fondamentaux de ces individus. Les appels à l'action et à la solidarité envers les prisonniers politiques au Cameroun doivent être renforcés pour garantir leur sécurité et leur intégrité physique.
Cette situation souligne la nécessité d'une attention accrue aux violations des droits de l'homme au Cameroun et appelle à une mobilisation internationale pour mettre fin à la répression politique et assurer la protection des droits fondamentaux de tous les citoyens.
