Ambazonia: voici l’homme qui répond désormais aux 'menaces' de Atanga Nji

Le président du Conseil d'autodéfense d'Ambazonia (ASC) a annoncé aujourd'hui la nomination de M. Nso Foncha en tant que nouveau porte-parole du Conseil de l'ASC. M. Foncha fournira une voix publique au Conseil en veillant à ce que les annonces publiques soient faites de la manière la plus appropriée et par les voies les plus appropriées. Dans ce rôle, M. Foncha mènera la plupart des correspondances avec les médias, tels que la télévision, les journaux et les stations de radio. M. Foncha communiquera également avec les membres du public qui ont des questions sur le Conseil et les activités d'autodéfense en cours dans tout Ambazonia.

Le porte-parole informera régulièrement les habitants d'Ambazonia, au pays et à l'étranger, sur les développements en matière d'autodéfense. Le porte-parole sera la seule source d'information officielle sur la légitime défense de l'Union africaine, des Nations Unies, des gouvernements et des organisations internationales.

Le Conseil d'autodéfense d'Ambazonia rassemble plus de 95% des dizaines de groupes d'autodéfense à travers le territoire d'Ambazonia qui se consacrent à défendre les personnes d'Ambazonia, leurs biens et leurs intérêts contre toutes les menaces. Alors que le gouvernement intérimaire poursuit la diplomatie, le Conseil promeut le droit naturel de légitime défense individuelle et collective contre les attaques armées continues contre le peuple et sur le territoire d'Ambazonia perpétré par des soldats armés de la République du Cameroun et des mercenaires de République du Tchad Président Paul Biya. Cependant, le Conseil de l'ASC n'assume aucune responsabilité pour les actions de tout groupe d'autodéfense qui viole les conventions internationales et les lois sur les droits de l'homme.

Le Conseil cherche à s'assurer que les nouveaux groupes d'autodéfense établis et en croissance rapide par des jeunes chômeurs, frustrés et en colère à travers Ambazonia exercent des activités d'autodéfense de manière professionnelle et conforme au droit international et aux pratiques jusqu'à la conclusion d'une solution négociée par l'ONU de mettre pleinement en œuvre la Résolution 1608 (XV) de l'Assemblée générale des Nations Unies d'avril 1961 sur le droit à la souveraineté du Cameroun méridional