Arrêté en novembre 2016 après une manifestation pour le respect des droits des anglophones, Mancho Bibixy est accusé d’« actes terroristes »et risque la peine de mort.
Suite à la rencontre de l'avocat Agbor Nkongho avec la FIDH (Fédération internationale des droits de l'homme) à Paris le 2 mars 2018 où il a informé l'organisation de la détention, des accusations et du procès inéquitable de Mancho Bibixy, l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) a demandé simplement au gouvernement camerounais de libérer Mancho Bibixy immédiatement et sans condition.
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