Le milliardaire Francis Nana Djomou
Des milliardaires, il y en a beaucoup sur le territoire. Certains sont le plus en vue sans pour autant être plus nantis que les autres. Francis Nana Djomou est de ceux-là. Le Camerounais est très discret, à l’opposé du président directeur général de Vision 4 Jean-Pierre Amougou Belinga dont l’activiste Jacques Jorel Zang se permet une petite comparaison.
Sur les réseaux sociaux, l’appréciateur écrit : « voilà ce que moi j'appelle milliardaire. Monsieur Francis Nana Djomou. Fondateur et président directeur général d'un empire qui se nomme Tagidor Premium Investissment SA et qui se compose ainsi que suit :
1- Les laboratoires Biopharma qui dont dans la cosmétique. 2- Elim Beverage qui fait dans les boissons gazeuses. 3- AGFI qui fait dans les bouillons culinaires. 4- Foodis qui fait dans les vins. 5 - Tagidor Garden SA qui fait dans le tourisme et l'hôtellerie
Un homme dont l'extrême discrétion n'a d'égale que sa puissance financière. Riche comme Crésus mais poli, réservé, éduqué, raffiné, respectueux de l'humain et de ses collaborateurs (jamais vous ne le verrez les humilier).
Voilà le type de milliardaires que moi je respecte car modeste malgré son extrême puissance. Bravo monsieur toute mon admiration pour "votre comportement". Pas le brakata parvenu de Kondengui (Jean-Pierre Amougou Belinga, ndlr) qui utilisait un clown pour faire croire aux gens qu'il parle au président Paul Biya. NB : le vrai argent ne fait pas de bruit tout comme les vrais riches ».
En effet, Francis Nana Djomou est un chef d'entreprise camerounais, entrepreneur et administrateur de plusieurs organisations et entreprises. Il est né à Bangou dans l’Ouest et se lance comme entrepreneur dans les années 1990.
Avec son entreprise Biopharma créée en 2001 et présent dans vingt-deux (22) pays, Francis Nana Djomou investit le secteur agroalimentaire et du tourisme.
Il est présent dans les boissons. Avec Jumbo, une marque de bouillon culinaire, il a essayé de concurrencer Cube Maggi de Nestlé sur le marché local, un projet finalement abandonné en 2019.
À Bangou, « sur 20 ha de terres appartenant au domaine familial, il construit l’un des plus grands villages de vacances du Cameroun, le village vacances de Bangou : 80 bungalows, des lacs artificiels, agriculture biologique, un jardin botanique, un zoo, une ferme pédagogique, des centres d’équitation, de remise en forme et de conférences, des terrains de football, de basket-ball et de tennis pour des compétitions de haut niveau », lit-on sur les moteurs de recherche.
