'Bête, saligaud de merde': Georges Dougueli traine l'image de Jeune Afrique dans la boue

Geoges Dougueli Ja.png Georges Dougueli

Thu, 24 Jul 2025 Source: www.camerounweb.com

Tout un grand journaliste, grand cadre de la rédaction de Jeune Afrique dont il est le correspondant au Cameroun, s'est illustré à travers un langage très ordurier à l'endroit de ses compatriotes.

Georges Dougueli, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a copieusement insulté l'universitaire Moussa Njoya dans une discussion censée être courtoise sur l'application Messenger.

Moussa Njoya très connu pour ses analyse et diverses dénonciations sur les réseaux sociaux, a décidé d'exposer le correspondant de Jeune Afrique dont les insultent et le langage frisent l'insolence et la mégalomanie.



"Après ma publication d’hier sur la déchéance déontologique de Jeune Afrique qui est désormais transformé en un canard de colportages de ragots de bas étage, j’ai eu tout le (de)honneur de voir Doux-Guelit s’introduire subrepticement dans ma messagerie privée Facebook. Avant de me bloquer et s'enfuir, tellement la lâcheté le cheville au corps !

Je vous laisse apprécier librement le niveau de langue et de langage de notre DougSaga de Paris, surtout pour ceux qui, comme moi, doutaient encore de la bassesse crasse de la moralité du concerné, de l’incompétence rasse de l’individu ou encore de la vénalité confinée à l’indignité et l’impudicité du personnage !

Oui pendant longtemps, notre DougSaga de Paris a entretenu dans l’opinion publique l’illusion d’être journaliste, alors qu’il n’est rien d’autre que l’un de ces plumitifs mercenaires qui écument les salles de ces quelques rédactions FrançAfricaines de France, ces petites mains de la propagande néocoloniale à qui il est strictement interdit de faire usage de leur moelle épinière.

Raison pour laquelle Doux-Guelit ignore la plus basique des règles en journalisme, à savoir : RECOUPER UNE INFORMATION ! Si notre cher DougSaga avait ne serait-ce que fleurté avec le vrai journalisme, il saurait, comme j’ai eu à l’enseigner à de centaines d’étudiants dans le cadre du cours du « Droit de l’information et de la communication », que toute information reçue doit être vérifiée auprès des diverses sources, en commençant par les personnes concernées par les faits évoqués.

Non ! Notre DougSaga ne connait pas ça ! Lui qui élabore ses laïus, qu’il ose appeler articles, sur la base des « Appel à témoins » lancés sur Facebook ! Et avec ça, comment s’étonner que Jeune Afrique soit aujourd’hui incapable de dresser un portrait de 3500 signes d’une personnalité de premier plan, sans que celui-ci ne soit truffé de contrevérités les plus ubuesques ?! Avec Doux-Guelit, en guise de journalisme, l’on a affaire aux « kongossa » de bar de la Briqueterie !

Il faut avouer que le cas de notre Doux-Guelit est très grave, car comme le disait notre chère Julie Foka, le mec il n’écrit pas pour être lu, mais pour être corrigé. C’est la souffrance qui lui procure son plus haut pic de jouissance. Malheureusement pour lui, je n’ai nullement la compétence de l’une de ces « Maitresse Cruella » ou ces Drag Queens des salons sadomasochistes de Paris pour qui notre DougSaga auraient une très forte appétence.

À contrario, je me prends plutôt en pitié pour lui, car au-delà de ses éructations insultantes, je perçois plutôt une âme damnée en peine. Cette damnation qui caractérise toutes ces personnes qui, après avoir sacrifié leur dignité sur l’autel du mercantilisme, constatent sur le tard que les lambris et l’hubris ne procurent point le bonheur ! Car avec DougSaga de Paris, tout se résume à la matière, au matériel.

Ainsi, là où je m’attendais à ce que son incursion dans ma messagerie, tel un violeur qui se glisse sous la couette d’une ingénue, débouche sur des échanges portant sur des idées, des pensées, des théories, ou encore des techniques, j’ai plutôt eu droit à l’étalage de toute sa pétulance. Toute chose qui permet de comprendre toute sa reptation derrière un illettré, gueule béante et salivante, en attente que celui-ci qui lui sert de maitre lui mette au fond de la gorge un morceau … et pourquoi pas un membre masculin bien en érection. Tellement il aime bien sucer le Doux-Guelit ! Prisonnier qu’il est du bourdonnement permanent de son tube digestif !

Et comme le démontre aisément sa propension à l’injure, notre DougSaga est vraiment une âme en peine, un être en errance, ayant réalisé que le véritable accomplissement pour une homme ne se trouve point dans l’accumulation de quelques biens matériels, mais plutôt dans bien de ces « petites » choses, comme bâtir une vie familiale équilibrée !

Alors, prions pour Doux-Guelit, car nous sommes en train de perdre un frère ! Comme ce fut le cas avec notre sœur Wopso !"



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Source: www.camerounweb.com