BAS France : le général Wanto radié pour "tentative de prise de contrôle"

Le Bureau de Commandement de la Brigade Anti-Sardinards (BAS) France annonce l'exclusion définitive du général Wanto, accusé de dérives autoritaires et de tentatives de subordination de l'organisation à son autorité personnelle. Cette décision illustre les tensions internes qui traversent les mouvements d'opposition camerounais en diaspora.

COMMUNIQUÉ OFFICIEL DU BUREAU DE COMMANDEMENT DE LA BAS FRANCE

Objet : Radiation définitive du Général WANTO pour tentative de prise de contrôle et dérive autoritaire

Madame, Monsieur,

Le Bureau de Commandement de la BAS France, élu démocratiquement le 26 janvier dernier par la volonté souveraine du peuple en lutte pour la libération du Cameroun, informe officiellement l’opinion publique et la diaspora camerounaise de la radiation définitive du Général WANTO, suite à des faits d’une gravité exceptionnelle.

I. UNE TRAHISON DE L’ESPRIT COLLECTIF

Après notre élection historique, dans un esprit d’unité et de reconnaissance, le Général WANTO a été honoré par le Bureau légitime en tant que Président d’Honneur de la BAS France. Cette désignation visait à reconnaître son parcours tout en l’intégrant dans une dynamique collégiale, démocratique et structurée, fidèle à l’idéal révolutionnaire.

Malheureusement, il a trahi cet esprit.

Dès les premières semaines, il a tenté de subordonner la BAS France à son autorité personnelle, imposant une vision de domination verticale contraire aux principes fondateurs de notre révolution.

II. LA VOLONTÉ DE CONTRÔLER LES CONSCIENCES

Le Général WANTO ne lutte pas contre le système pour libérer les âmes, mais pour s’accaparer les esprits. Là où le régime pille les ressources matérielles du Cameroun, lui cherche à exploiter les consciences de la diaspora.

Son ambition déclarée :

Créer une structure parallèle, la “BAS France Maison-Mère”, comme bras armé d’un soi-disant CCD (Conseil des Camerounais de la Diaspora), où il pourrait imposer ses décisions et neutraliser toute autonomie locale.

La BAS France a dit NON.

Notre Commandant en Chef, notre Premier Commandant Adjoint, et tous les membres élus restés fidèles à la révolution ont refusé toute soumission à cette logique d’emprise.

**III. NOUS NE SOMMES PAS UN BRAS ARMÉ.

NOUS SOMMES UNE CONSCIENCE VIVANTE.**

Le Général WANTO a voulu transformer la BAS en instrument personnel, au service d’un pouvoir hégémonique.

Nous réaffirmons :

La BAS France n’est pas un outil de domination.

Elle n’est pas un satellite du CCD ou d’aucune structure centralisée.

Elle est une organisation souveraine, gardienne du Temple de la Révolution, et voix authentique du peuple en lutte.

IV. DÉCISION : RADIATION DÉFINITIVE

À la lumière de ces faits, et conformément à la volonté de préservation de l’intégrité du mouvement :

> Le Général WANTO est officiellement radié de la BAS France, à compter de ce jour.

Nous appelons l’ensemble des Camerounais et des révolutionnaires sincères à rester vigilants, unis, et alignés sur la conscience, et non sur des logiques d’égos et de prises de pouvoir personnelles.

> La révolution ne s’impose pas. Elle s’incarne.

Et la BAS France incarne désormais cette conscience en marche.

Signé :

Colins Nana

Commandant en Chef de la BAS France

Le Trismégiste Colonel SOH

Premier Commandant Adjoint élu de la BAS France