Selon les informations rapportés par Cameroun Actuel, l’analyste politique Aristide Mono a récemment suscité l’intérêt du public en affirmant sur Facebook que la succession du président camerounais Paul Biya était presque actée en faveur de son fils, Franck Biya. Cette déclaration a alimenté les spéculations et les discussions autour de la question de la succession présidentielle au Cameroun.
Selon Aristide Mono, la « reproduction au sommet », c’est-à-dire le transfert du pouvoir politique à un membre de la famille, est déjà pratiquement confirmée. Il prédit que Franck Biya sera finalement choisi comme successeur et intronisé à la présidence. Cependant, il souligne que le débat sur la succession ne devrait pas être pris trop au sérieux, suggérant que la décision a déjà été prise en coulisses.
« La reproduction au sommet est déjà presque actée. Il sera finalement investi et intronisé. Restons seulement dans nos faits divers », écrit Aristide Mono.
Ces spéculations sur la succession de Paul Biya ont suscité un vif intérêt dans l’opinion publique, compte tenu du fait que le président est au pouvoir depuis plusieurs décennies. Cependant, il convient de noter que les détails concrets sur le processus de succession, les personnes impliquées et les facteurs qui pourraient influencer la décision restent encore à être clarifiés.
Il est important de souligner que ces spéculations ne sont pas basées sur des informations officielles et qu’il est donc essentiel de prendre du recul par rapport à ces déclarations. La succession présidentielle est un processus complexe et délicat, qui implique de nombreux acteurs et considérations politiques.
Il est nécessaire d’attendre des informations officielles et des déclarations du gouvernement camerounais avant de tirer des conclusions définitives sur la succession de Paul Biya. En attendant, il est intéressant de suivre les développements de cette situation et de rester informé des événements politiques au Cameroun.