« Nous sommes à l'entrée de la ville de Bafang, au tout premier contrôle routier venant de Douala. Notre caméra a immortalisé ce policier en plein acte de corruption. » C’est ce qu’on pouvait lire sur Quatrième Pouvoir, un média privé de la place.
Ces scènes de corruption sont légions au Cameroun et contribuent des manques à gagner pour le trésor public. Car, cet argent va directement dans les poches des policiers et on à la caisse de l’Etat.
Il faut dire aussi que les citoyens sont souvent complices de cette corruption et il faut la prise de responsabilité de tout un chacun.
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