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Bafoussam : deux corps abandonnés font perdre le sommeil aux autorités

Les deux corps ont été retrouvés abandonnés en ville

Fri, 18 Mar 2022 Source: www.camerounweb.com

Le Maire de Bafoussam a fait un communiqué

Il invite les populations à venir reconnaitre les corps

Les deux corps ont été retrouvés abandonnés en ville

Le Maire de la Commune d’Arrondissement de Bafoussam 3ème a perdu le sommeil. Pour cause, deux corps hantent la ville de Bafoussam depuis quelques jours. Ces corps ont selon plusieurs sources été retrouvés dans la ville. Même si l’enquête ouverte n’a ps encore déterminé de quoi ces personnes sont décédées, on soupçonne qu’elles auraient peut-être été agressées.

Dans un communiqué, le Maire de Bafoussam 3ème n’invite toute personne qui serait à la recherche d’un proche de passer identifier les corps.

Une sortie peu ordinaire de Daniel Ndefonkou. Dans un communiqué rendu public jeudi 17 mars 2022, le Maire de la Commune d’Arrondissement de Bafoussam 3ème fait une triste annonce. « Le Maire de la Commune d’Arrondissement de Bafoussam 3ème informe sa population et celles des localités voisines de la présence de deux corps sans vie au quartier Djunang-Mete au lieu-dit carrefour ‘’Nja’a’’ Teh », lit-on.

« Selon les pièces d’identité trouvées sur place, il s’agirait de M Fokoua Fotué Etienne Gabin né le 18 janvier 1997 à Bafoussam, profession étudiant. Il est à noter qu’une carte de moto a également trouvée sur les lieux au nom de Tidjouong Seigni Cyrille », précise le magistrat municipal. Au-delà de l’annonce, l’édile invite toute personne qui connaitrait le défunt ou ayant des informations pouvant aider dans le cadre de l’enquête qui a été ouverte, de prendre attache avec les services de la Mairie de Bafoussam 3ème.

Les deux corps ont été mis à la morgue de Bafoussam en attendant que les propriétaires viennent les reconnaitre. Mais les autorités craignent surtout que ces depuis soient abandonnées comme plusieurs autres corps par le passé, chose qui obligerait donc les autorités à les enterrer dans un cimetière municipal.

Source: www.camerounweb.com