Bafoussam : élément du BIR et sa femme confisquent la maison d'une veuve

A Bafoussam, un militaire du Bataillon d'Intervention rapide (BIR) traumatise une famille. Selon les témoignages d'une de ses victimes, il aurait fait main basse sur l'immeuble d'une famille. Non seulement il refuse de quitter les lieux, il se comporte en propriétaire en y accueillant d'autres locataires. La mère de famille qui se soigne avec les loyer de l'immeuble qui appartenait à son de défunt mari est contrainte de retourner au village où elle a du mal à suivre ses traitements.

Les enfants se confiés au lanceur d'alerte N'zui Manto.

Bonjour Nzuimanto je viens au près de vous solliciter vous aider

Je suis une abonnée de votre page Nous avons un homme du BIR chez nous qui nous traumatise. Mon père est décédé il y’a de cela deux ans et demi juste quelques jours après sa mort le Biroi a divisé la maison et a mis ses locataires à lui. Quand nous nous sommes rendu compte nous lui avons demandé de faire partir ces locataires si non il libère la maison il a refusé.

Depuis il refuse de sortir. Ma mère est allée la-bas sa femme la copieusement insulté et lui a interdit de remettre les pieds la-bas.

Nous sommes allés au SEMIL on nous demande de donner son unité malheureusement nous ne connaissons pas.

C’est l’argent de ce loyer qui permettait à maman d’acheter ces médicaments. Le Biroi se nomme EKEM DEUTOU Emmanuel Landry et sa femme Kouve Clémentine la maison a 4 chambre 2 douches internes 1 salon 1 cuisine dehors il y a une chambre 1 cuisine 2 magasins 1 chambre.

S’il vous plaît il y a que vous pour nous aider à retrouver son unité aujourd’hui maman vit au village »

Anonyme