Bagarre pour un homme : ce qui s’est réellement passé entre Beyala et Marie-Roger Biloa

Calixthe Beyala a-t-elle réellement disputé un homme avec sa compatriote Marie-Roger Biloa ? L’affaire qui avait fait grand bruit dans la presse camerounaise il y a quelques années refait surface. L’écrivaine dont les techniques de combats ne sont plus à démontrer se serait bagarrée avec la journaliste Marie-Roger Biloa en 1999 à l’Ambassade du Sénégal à Paris, lors d’un événement organisé à l’honneur de l’ancien président sénégalais Abdou Diouf.

Depuis, la situation serait tendue entre les deux compatriotes. Dans une nouvelle publication sur sa page Facebook, Calixthe Beyala tente de calmer le jeu. Elle nie s’être battue avec Marie-Roger Biloa.

CamerounWeb vous propose l’intégralité de la sortie de Calixthe Beyala

Aux colporteurs de médisances qui depuis la parution de l’article sur ces élites africaines qui détruisent la jeunesse, je dis d’arrêter ! Vous êtes ultra vexés et racontez que je me serais battue avec Marie-Roger Biloa pour un homme ? Une grossière ânerie !

Comme cela fait plusieurs fois qu’ils font circuler cette bêtise, j’ignore à qui le crime profite, je réaffirme que jamais je ne me suis engueulée avec Marie-Roger Biloa et encore moins je ne me suis battue.

Marie Roger est ma soeur. Aînée en plus ! J’ai une éducation de femme Eton et chez les Eton, on ne répond pas aux aînés et on ne se bat pas eux. Si chez vous, vous vous battez avec vos grands frères et soeurs, chez moi pas.

Marie-Roger et moi avions quelquefois eu une divergence d’opinion politique, sans gravité. Elle avait fabriqué à ses frais plus de 500 tee-shirts que portaient les Africains français lors des marches que j’organisais pour les revendications des noirs de France ! De même Denise Epoté.

Ces soeurs ont toujours été là dans les moments difficiles, ne vous y trompez pas ! Et l’homme que vous accusez en permanence est comme son frère, il a été témoin de son mariage.

Des bisous à tous ! Et à ceux-là qui se reconnaissent comme destructeurs de la jeunesse Africaine, ressaisissez-vous ! Vivez plus dignement ! Votre chantage ne m’émeut pas !