Bain de sang au NOSO : une femme décapitée par des ambazoniens

C'est un crime horrible et insoutenable de plus. Dans le NOSO, c'est une affaire qui crée émoi et consternation.

A Bali Nyonga, une jeune fille a été décapitée par des ambazoniens. Ce crime insupportable est survenu le 20 février dernier lorsque la jeune fille, âgée de 18 ans, a été enlevée, puis froidement décapitée par ces ambazoniens pour des raisons non encore élucidées.

Il y a quelques jours, la gendarmerie nationale du Cameroun avait neutralisé le faux commandant terroriste Stone de Bamanka (Ndop). C’est une information qui est parvenu au moment même où l’annonce de la mort de No Pity avait alimenté les débats. Il ne s’agissait en fait que d’une fausse alerte. Son décès a été annoncé plusieurs fois mais le Général Ambazonien a toujours été revu vivant en pleine forme. Même pour capturer No Pity, l'armée camerounaise était obligée de s'en prendre à sa femme et ses enfants.

Ils ont été capturés le 2 octobre dernier 2021 à Buéa par le soldat camerounais Ikome John alias Moja, soldat et chef du village de Bwassa. Dans une vidéo qui a circulé sur la toile, il a brutalisé la femme présentée comme celle de No Pity et a d'ailleurs adressé un message au 'redoutable' Général ambazonien.

Il y a aussi quelques jours, une révélation gravissime fait état de ce que des gendarmes ont fourni des munitions de guerre aux ambazoniens dans la crise anglophone. Ils seraient au nombre de 20 gendarmes à être interpellés et écroués. La nouvelle indigne plusieurs internautes qui indiquent d'ailleurs que ces gendarmes « ont certainement des complices hauts gradés ».