Bangangté : un jeune de 16 ans surpris en train de ‘casser’ le derrière d'un enfant de 13 ans

Les jeunes ont été surpris par les populations de Bangangté. Le fautif serait un pousseur au marché du village. Voici comment les choses se sont passées.

Le village de Tata Célestine Ketcha et celui de son neveu N'zui Manto a été frappé par un fait divers funambulesque marquant les esprits de paisibles villageois témoins de la comestibilité de plantains crus.

Eux qui depuis leur départ du Soudan et de l'Égypte croyaient à tort que le plantain, bien cuit dans un plantain viande ou plantain pilé maintenait la succulence de ces différents mets dans la bouche.

Une ignorance qui remit en cause leur culture perpétuée pendant des siècles lorsque hébétés, ils virent ce même plantain cru sucrer la gorge d'un de leur semblable.

Pousseur au marché du village, le jeune féru de l'anus comme un certain Grégoire à Yaoundé va cibler sa victime de 13 ans le conduisant dans un vieil hôtel abandonné avant de sortir son dagobert imberbe en forme d'une tige de bonbon sucré et de la lui mettre comme ma'a magnie purgeant ses jumeaux à l'aide d'une poire à lavement.

La victime, pleurant en langue medumba " A den ya ! A den ya bi win dam" (Ça fait mal aidez-moi) attirera l'attention de Taba à quelques pas de là, convaincu que le totem du roi des Bangangté aurait décidé de se nourrir d'un enfant. Armé d'un coupe-coupe il suivra la direction des pleurs et vit un jeune apôtre sodomite en pleine évangile anustocratique.