Benjamin Zebaze exprime son incompréhension face aux critiques émises par d'anciens journalistes d'Équinoxe TV qui, après plusieurs années de service, ont choisi de quitter la chaîne. Dans un post incisif, Zebaze souligne le paradoxe de ceux qui décrivent l'expérience chez Équinoxe comme un "enfer" mais semblent incapables de tourner la page une fois partis.
"Normalement, ils devraient être soulagés d'avoir quitté cet enfer; curieusement, comme une femme infidèle répudiée, ils ne cessent de vouloir traîner leur ancien employeur dans la boue," écrit Zebaze.
Pour Zebaze, la priorité des démissionnaires d'Équinoxe devrait être de se concentrer sur leur nouveau travail. Il suggère qu'au lieu de critiquer leur ancien employeur, ils devraient mettre en avant leurs compétences dans leur nouveau rôle, démontrant ainsi qu'ils méritent un traitement professionnel bien meilleur que celui qu'ils prétendent avoir subi chez Équinoxe.
"À leur place, je me concentrerais sur mon nouveau boulot afin de montrer à tous que je valais mieux que le traitement que m'infligeait mon ancien employeur," indique Zebaze.
Il observe également que certains anciens employés d'Équinoxe, une fois partis, retournent progressivement à l'anonymat, soulignant peut-être les défis auxquels sont confrontés ceux qui quittent une grande entreprise médiatique. Zebaze, fort de son expérience, reconnaît la complexité de créer et de diriger un groupe de presse, soulignant notamment la difficulté de gérer l'ego de ceux qui passent rapidement de l'anonymat à la célébrité.
Finalement, Zebaze pose une question provocatrice : ceux qui critiquent Équinoxe, leur ancien employeur, ne sont-ils pas suffisamment capables de créer leur propre média, qui, selon eux, serait parfait sur tous les plans ? Une interrogation qui met en lumière la responsabilité individuelle dans la construction d'une carrière médiatique épanouissante.