Le créateur digital Zang s’est exprimé sur la démission de l’ancien football international Benoît Angbwa. Ce dernier a donné sa lettre de démission au président de la Fecafoot, Samuel Eto’o Fils. Les choses dégénèrent déjà au sein du clan de Samuel, insiste Zang.
Quand les cacas commencent à trop sentir, l'odeur fait fuir même les plus fidèles des mouches. C'est exactement ce qui se passe en ce moment dans le camp Eto’o. C’est une église où la seule croyance est d'adorer Samuel Eto’o dans tout ce qu'il fait.
Même quand il respire ou quand il se vide aux toilettes, il doit être applaudi. Tout son discordant est strictement prohibé et les auteurs sont traités pire que des esclaves. Un environnement toxique à l'image du gourou qui a raison des démissions en cascade de ses plus grands soutiens depuis un moment.
Deux démissions en 24 heures seulement (jamais vu dans l'histoire du football camerounais), dont celle de l'un des plus fidèles des alliés, j'ai nommé Benoît Angbwa pour propos dévalorisants, parfois insultants ; restrictions excessives entravant l'exercice de mes fonctions ; antipathie et agressivité verbale ; refus manifeste de collaboration et acharnement injustifié ; critiques systématiques à visée dénigrante.
Qui ne se souvient pas ici de la fidélité de Benoît Angbwa à Samuel Eto’o ? Une fidélité qui lui a valu toutes les humiliations de la toile et des Lions indomptables surtout pendant l'épisode du Hilton Hôtel l'année dernière. Malgré cela, on voit aujourd’hui comment il est traité.
Cela doit interpeller tout le monde, notamment sur la toxicité de la personne érigée en dieu, car derrière le SG de la Fecafoot se cache son patron (…) Très honnêtement, cela me fait un peu mal ce qu'ils ont fait à cet homme, car je l'ai vu tant se donner et s'humilier pour Samuel Eto’o.