Les circonstances de l'acte demeurent un mystère
• C'est une histoire rocambolesque à Bonapriso
• Une mémé de 74 ans a été violée
• Les circonstances de l'acte demeurent un mystère
C'est l'information qui fait couler beaucoup de salive et d'encre au Cameroun.
L'information, digne d'un film, s'est passé à Bonapriso.
C'est ABK RADIO qui fait cas de l'information dans son 'Journal Des Faits Divers'.
"À Bonapriso, une dame de 74 ans a été violée", titre la radio. Et oui, ce n'est pas tous les jours qu'une grand mère se fait violer.
Les réelles motivations derrière cet acte ignoble sont inconnues pour le moment mais il est possible de croire que quelque chose de louche se cache derrière.
Généralement, ce sont des actes qui rentrent dans les impositions des cercles pernicieux.
"Le monsieur aura ce qu'un coq endure quand il viole la canne ; ses jours sont probablement comptés", commente un internaute.
"C'est la sorcellerie", renchérit un autre. "Voici alors la vrai magie", a ajouté un troisième internaute.
Douala : un stagiaire vole 7 millions FCFA dans une entreprise et prend une violente tangente
Visiblement, tous les stagiaires n’ont pas la même vision en intégrant une société. A Doula, l’histoire du stagiaire envolé avec une forte somme d’une entreprise défraie la chronique.
En stage dans une entreprise spécialisée dans la livraison des vins et spiritueux, le voleur ne sera autre qu’un jeune très obéissant, honnête et assidu. D'après les témoignages de son patron, il faisait la fierté de ses affaires. Une grande confiance a été placée donc en lui. C’est ce qui a valu son contact avec les caisses de la boite.
C’est cette confiance qui le mettra permanemment en contact avec différentes recettes. Mais la vie étant les schémas, le jeune stagiaire après avoir perçu 7 millions de FCFA des différentes transactions quelques heures plus tôt, se transformera lui-même en téléconseiller au téléphone rythmant le patron dribblé en 2 langues.
« Le gars que vous essayez de joindre est vers le Niger pour le moment ! Veuillez attendre qu'il arrive au Maroc... », a écrit de façon ironique, Nzui Manto, lanceur d’alertes.
