Bras longs : Ernest Obama a encore frappé malgré un mandat de dépôt signé contre lui

Ernest Obama a son nom inscrit sur les admissibles au Master à l'ESSTIC. A 43 ans, le journaliste retourne sur les bancs. Étant jeune, il va au Collège Montesquieu puis au Lycée d’Esse. Il a une Licence en philosophie de l’Université de Yaoundé 1, une Maitrise en philosophie morale et politique dans la même université, une Maîtrise professionnelle en journalisme obtenue à l’ESSTIC; option journalisme politique.

En plus donc de sa maîtrise en journalisme politique, il reprend les cours pour obtenir un Master en belle, bonne et dûe forme. Mais l'opinion est perplexe quant à un mandat d'arrêt qui aurait été délivré contre lui en début août dernier.

En effet, la Cour d’appel du Centre aurait délivré, le 3 août 2023, un mandat d’incarcération contre Ernest Obama, le porte-parole du président de la Fecafoot selon certaines sources. Le mandat d’incarcération aurait été signé le 3 août 2023 par le célèbre magistrat Gilbert Schlick, à l’issue de l’audience du 28 juillet dernier.

Mais alors pourquoi n'est-il pas encore arrêté ?

Aux dernières nouvelles, plusieurs sources soupçonnent I'homme 'aux longs bras", et pour lequel il travail, de faire obstacle à cette arrestation. Mais pendant combien de temps résisteront-ils ?

Courant janvier 2020, Ernest Obama a déclaré sur Vision 4 que c'est la Fondation Ayah qui achète et ravitaille les ambazoniens en armes. Pour laver son honneur face à une telle grave accusation, la Fondation Ayah a donc déposé une plainte pour "Diffamation, propagation des fausses nouvelles, chantage, etc' au Tribunal de Première Instance (TPI) de Yaoundé Centre administratif contre Ernest Obama, Vision 4 et le journal ĽAnecdote. Pendant que le procès évoluait, pour faire le dilatoire et bloquer I'affaire, Ernest Obama à saisit la Cour d'appel via un ADD (Avant Dire Droit) pour contester la compétence du TPl pour juger l'affaire. La Cour d'appel a à son tour débouté simplement Ernest Obama et a décerné un mandat d'incarcération contre lui. C'est-à-dire qu'on l'arrête pour l'envoyer en prison