Paul Biya est très malade
La santé du chef de l’Etat Paul Biya va de mal en pis. Le président du parti au pouvoir (RDPC) a du mal à tenir sur ses jambes de quatre-vingt-neuf (89) ans.
Régulièrement, celui qu’on désigne comme le "vieux lion" est transféré dans des hôpitaux plus huppés d’Europe pour ses traitements.
Il y a plusieurs semaines, le journaliste d’investigation Boris Bertolt a renseigné que la présidence dirigée par Paul Biya s’est dotée d’un avion médicalisé moderne pour transporter le chef de l’Etat vers des destinations voulues lorsque sa santé est en jeu.
Le pays que visite souvent Paul Biya est la Suisse. Il l’affectionne particulièrement depuis qu’il occupe le fauteuil présidentiel.
Le journaliste Rémy Ngono a informé il y a soixante-douze (72) heures sur sa chaîne YouTube que Paul Biya a été mis au courant d’une nouvelle maladie meurtrière.
Pour reprendre ses mots, Rémy Ngono a écrit : « Une nouvelle maladie dangereuse détectée sur Paul Biya : son médecin chassé du palais d'Etoudi ».
Rémy Ngono est entré beaucoup plus dans les détails dans la vidéo de plus de vingt-trois (23) minutes sur le réseau social indiqué ci-dessus.
La situation sanitaire de Paul Biya se dégrade au fil du temps. Tout le monde se demande pendant combien de temps encore va-t-il tenir. Bien malin celui qui peut le savoir.
Tout de même, on annonce qu’il pourrait être de la partie pour la nouvelle élection présidentielle prévue pour 2025.
Ce serait – s’il arrive à tenir jusque-là – un record de longévité pour un président, surtout qu’il est déjà le plus vieux chef de l’Etat en exercice au monde.
« Rémy Ngono, il n’y a que toi qui continues ton bon travail, un vrai patriote », félicite un internaute tout reconnaissant de savoir que l’homme qui le dirige depuis des années maintenant n’a plus beaucoup de temps devant lui.
« Voilà ce qui nous arrive quand on est trop gourmand. S’il prenait sa retraite à temps, il devait se reposer en paix », ajoute un autre citoyen.
C’est un fait, Paul Biya n’a plus la fougue de jeunesse. Ses apparitions publiques sont très surveillées parce qu’il y a toujours quelque chose d’anormal qui se passe, certainement à cause de la vieillesse et de l’état fragile de son corps.
Comme la dernière fois aux Etats-Unis où il a perdu la mémoire devant des sommités présentes dans la salle pour écouter son discours.
