C'est historique: la victoire d'Issa Tchiroma est incontestable, le peuple va sortir

Cameroun Issa Tchiroma Bakary Image illustrative

Sat, 18 Oct 2025 Source: www.camerounweb.com

Pour le leader du mouvement Na Wa Future, la victoire électorale d'Issa Tchiroma Bakary représente bien plus qu'un simple changement politique — c'est une chance de salut national. Invoquant les figures tutélaires de la lutte camerounaise et des pères de la décolonisation africaine, Fabrice Lena appelle tous les Camerounais, sans distinction régionale ou sociale, à s'unir pour défendre ce scrutin. Entre appel à la responsabilité historique et critique acérée du régime sortant, ce texte plaide pour que le peuple camerounais saisisse enfin l'opportunité de transformation qu'il juge décisive.



Opinion… L’APPEL DE L’HISTOIRE : POURQUOI LES CAMEROUNAIS DOIVENT S’UNIR ET DÉFENDRE LA VICTOIRE D’ISSA TCHIROMA BAKARY… Par Fabrice Lena | Mouvement Politique Na Wa Future

« Il est des moments dans la vie d’une nation où se taire devient une trahison, où hésiter équivaut à capituler, et où l’unité devient un devoir sacré.

Le Cameroun se trouve aujourd’hui à ce carrefour décisif.

La victoire d’Issa Tchiroma Bakary n’est pas un simple résultat électoral — c’est un verdict du peuple, le cri du cœur d’une nation fatiguée, le dernier pont entre notre passé brisé et notre avenir possible.

Pendant trop longtemps, le pays de Ruben Um Nyobè, d’Ahmadou Ahidjo, d’Ernest Ouandié et d’Albert Mukong a porté sur ses épaules le cercueil d’un système expiré — un système qui a transformé la promesse en désillusion, la citoyenneté en résignation.

Mais voici qu’en 2025, l’histoire frappe à notre porte, offrant à travers la victoire d’Issa Tchiroma Bakary une ultime chance de renaissance nationale.

Voici dix raisons puissantes pour lesquelles les Camerounais de toutes origines, de toutes régions et de toutes conditions doivent s’unir et défendre cette victoire — non pour un homme, mais pour le salut de la République.

1. Parce que ce moment est historique — et l’histoire ne repasse jamais deux fois

Il existe des saisons dans l’histoire qui ne reviennent jamais.

La génération postcoloniale a eu sa chance — elle l’a perdue dans la peur.

La vague démocratique des années 1990 a eu la sienne — elle s’est noyée dans la trahison.

2025 est notre heure d’or.

Si nous ne consolidons pas cette victoire du peuple, le Cameroun sombrera dans une nouvelle décennie d’incertitude et de décadence.

Comme le disait Kwame Nkrumah : « Les révolutions sont faites par des hommes qui pensent en hommes d’action et agissent en hommes de pensée. »

Aujourd’hui, ces hommes et ces femmes, c’est nous.

2. Parce que les mandats de sept ans sont devenus sept années de souffrance

Tous les sept ans, on demande aux Camerounais d’espérer — pour les replonger aussitôt dans la même misère.

Ces mandats interminables ont transformé la gouvernance en léthargie, la responsabilité en oubli.

Avec Issa Tchiroma Bakary, nous avons la chance de refonder le contrat politique — d’instaurer une démocratie vivante, réactive et proche du peuple.

Aucun peuple ne peut se renouveler si le changement ne frappe qu’une fois par décennie.

3. Parce que la souffrance du peuple a atteint le point de rupture

Du maître d’école à Garoua au commerçant de Douala, du planteur de Bafoussam à l’infirmière de Kumba, le cri est le même : « Nous ne pouvons plus vivre ainsi. »

Les prix flambent, les emplois disparaissent, la jeunesse s’exile, et l’avenir se dissout.

Comme le disait Nelson Mandela, « Rien n’est plus puissant qu’un peuple déterminé à se relever. »

Défendre la victoire de Tchiroma, c’est défendre cette détermination collective — le refus de continuer à souffrir sous un régime qui ne voit plus les siens.

4. Parce que l’exode de notre jeunesse est une plaie nationale

Chaque semaine, des centaines de jeunes Camerounais affrontent le désert ou la mer pour fuir le désespoir.

Ce n’est pas une migration, c’est une fuite.

Un pays qui ne fait plus rêver ses enfants n’est plus un pays, c’est un camp d’attente.

Avec Issa Tchiroma Bakary, nous avons l’occasion de rendre au Cameroun sa dignité : un pays où les jeunes ne fuient plus, mais construisent.

5. Parce que la corruption a dévoré l’âme de la République

Depuis des décennies, le Cameroun figure parmi les nations les plus corrompues du monde.

Sous le régime Biya, la corruption n’est pas un accident : c’est un système.

Pendant que des milliards disparaissent, des hôpitaux manquent de gants et des écoles manquent de craies.

Issa Tchiroma Bakary a vu cette pourriture de l’intérieur et il ose aujourd’hui la combattre.

L’heure est venue de remplacer la loyauté aveugle par le mérite, la complaisance par la compétence.

6. Parce que l’image du Cameroun à l’étranger est brisée

Autrefois fierté de l’Afrique centrale, le Cameroun est devenu synonyme d’immobilisme.

Nos passeports inspirent la méfiance, nos dirigeants inspirent la honte, et nos jeunes inspirent la pitié du monde.

Défendre cette victoire, c’est racheter le nom du Cameroun devant la communauté internationale.

Comme le disait Thomas Sankara : « Nous devons oser inventer l’avenir. »

Et cette victoire est précisément cette audace que nous attendions depuis trop longtemps.

7. Parce que le règne de la peur a vécu

Pendant quarante ans, le Cameroun a appris à se taire.

La peur est devenue langue officielle, et le mensonge, politique d’État.

Mais cette génération a parlé, à travers les urnes et le courage.

Défendre la victoire de Tchiroma, c’est enterrer définitivement la politique de la peur.

8. Parce que l’unité nationale doit enfin devenir réalité

Notre devise « Paix – Travail – Patrie » ne doit plus être un simple slogan.

Le Nord se sent oublié, le Sud s’estime propriétaire, l’Ouest est frustré, les régions anglophones sont blessées.

Issa Tchiroma Bakary, par son parcours, son ouverture et son enracinement national, incarne la réconciliation dont nous avons besoin.

L’unité doit devenir un acte, non plus un chant.

9. Parce que la justice et la responsabilité doivent redevenir le cœur de la République

La loi ne doit plus être une arme des puissants, mais un bouclier pour les faibles.

Un pays ne se construit pas dans l’impunité, mais dans l’équité.

Sous ce nouveau leadership, la justice reprendra son trône et la dignité, sa place.

C’est cela, le vrai sens de cette victoire populaire : redonner confiance à ceux que l’État avait oubliés.

10. Parce que si ce n’est pas maintenant — ce ne sera jamais

Si nous perdons ce moment, les sept prochaines années ne seront pas seulement une répétition : elles seront un désastre.

Nos enfants ne nous le pardonneront pas.

Le monde détournera le regard.

Le Cameroun n’a plus le droit de rater son rendez-vous avec l’histoire.

Comme le disait Julius Nyerere, « La liberté n’est pas de choisir ses dirigeants, mais de les contrôler. »

La victoire d’Issa Tchiroma Bakary nous rend enfin ce contrôle.

Défendre la victoire d’Issa Tchiroma Bakary, ce n’est pas défendre un parti — c’est défendre l’idée d’un Cameroun nouveau.

C’est proclamer que, malgré quarante ans de mensonges, la vérité a encore un avenir.

C’est affirmer que le peuple, enfin, a parlé — et qu’il ne sera plus réduit au silence.

Alors, que chaque Camerounais — du pêcheur de Kribi à l’étudiant de Bamenda, de la veuve de Ngaoundéré au ouvrier de Maroua — se lève, parle, et défende cette victoire comme le dernier feu sacré de notre génération.

Car si nous la perdons, nous perdrons plus qu’une élection — nous perdrons notre âme.

Mais si nous la défendons — avec foi, paix et courage —

le Cameroun se relèvera, et l’histoire saura que, cette fois, nous avons été dignes de notre destin.

Fabrice Lena | Mouvement Politique Na Wa Future»

Source: www.camerounweb.com