CONFIDENTIEL : Louis Paul Motaze fauché, des difficultés de couple fragiliseraient le puissant ministre des finances

Récemment, sur un plateau télévision locale, le ministre des finances a annoncé être fauché. Ce qui a choqué plus d'un quand on sait que Louis Paul Motaze gère l'argent du pays et que c'est l'un des ministres d'Etat du gouvernement de Joseph Dion Ngute.

En effet, dans une interview accordée à Actualités Hebdo, il a révélé qu'il était souvent à court d'argent malgré son poste prestigieux au sein du gouvernement camerounais. Louis Paul Motaze a avoué que sa situation financière personnelle n'était pas toujours facile, ajoutant qu'il se sentait souvent aussi « fauché ».

La rédaction de Camerounweb a creusé et des révélations de l'ex garde présidentiel Patrice Nouma pourrait aider à comprendre ces déclarations du ministre. Ce dernier pense que des difficultés de couple fragiliseraient le ministre. Selon Patrice Nouma, le ministre des Finance, Louis Paul Motaze serait dans des difficultés conjugales depuis quelques temps déjà. En effet, selon les indiscrétions fournies et difficilement vérifiables pour l’heure, le ministre ne vivrait plus avec sa femme.

« Après la tonitruante DÉFECTION/TRAHISON de son bras séculier Mvondo Jean Sylvain, voilà que sa tendre épouse l’abandonne en rase-campagne. Suite à l’audition Jeudi 16 Juin de LOUIS-PAUL MOTAZE par des enquêteurs du TCS, Mme AISHA MOTAZE prétextant une brouille conjugale (elle aurait décidé de laisser le champ libre à l’ex-veuve Ze Akam ,devenue officiellement la deuxième épouse de Louis-Paul Motaze alias Iznogoud).

Aisha Motaze aurait donc fait ses bagages pour aller s’installer aux USA .Elle aurait au préalable désactivé tous les réseaux de marabouts qu’elle chapeautait ,et qui avaient pour but de faire accéder EBÔMKÔKOT à la Magistrature suprême. Elle est décidée à ne plus JAMAIS remettre ses pieds au Cameroun, estimant qu’avec ce qu’elle a soigneusement mis de côté pendant toutes ses années, elle ,et sa progéniture peuvent désormais vivre aux USA à l’abri du besoin. Les rats quittent-ils le navire ? » a écrit Patrice Nouma.