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Cabale : Des réseaux ambazoniens basés a l'étranger veulent déstabiliser un haut commis de l'État et Chef traditionnel

Chancel Qko Takem

Tue, 31 Jan 2023 Source: www.camerounweb.com

Depuis quelques semaines certains activistes des reseaux sociaux proches des ambazoniens ont engagé un lynchage mediatique sur Sg/Minmap, Chancel Ako Takem, par ailleurs chef traditionnel du village Tali2. En effet, pour sa loyauté aux institutions, ce chef traditionnel a demandé aux populations de son village de dénoncer systematiquement l'action des séparatistes qui sevissent dans les regions du Sud-ouest et du Nord-ouest. Il a fait installé un poste de Gendarmerie dans son village et interdit tout soutien ou collaboration avec les groupes armes séparatistes. Des personnes voulant certainement nuire à sa carrière ont monté une histoire selon laquelle il aurait violé une jeune fille de 15 ans qui a rendu l'âme. En réalité, selon nos informations, la jeune fille en question vendait des yaourts et des jus a proximite du lycee de Mbalgong non loin du quartier Simbock à Yaoundé où le Secrétaire Général a coutume de faire le sport tous les matins. Du fait des paiements par mobile money pour défaut de monnaie, son nom et numero se sont retrouvés dans le téléphone de la jeune dame.

En représailles les reseaux ambazoniens ont monté de toutes pieces une histoire farfelue autour de la jeune fille déplacée interne qui serait morte a Yaounde des suites d'un avortement. Lorsque cette dernière est tombée enceinte de son amant conducteur de moto bien connue de sa famille, elle a fait une tentative d'avortement qui a mal tourné et s'est retrouvée hospitalisée et démunie. Totalement dépassée par les evenements, la famille a exploité la liste des contacts de la jeune fille, identifier celui de Chancel Ako Takem puis lui demander de l'aide dans un premier temps qui s'est par la suite transformée en harcelement et chantage

Face au refus du haut commis de l'État de ceder, la campagne de sabotage a été lancée sur les réseaux sociaux et relayée par certaines pages Facebook populaires. Une plainte a été déposée par le fonctionnaire et l'enquête suit son cours.

Entre temps, la fille étant décédée, sa famille est entrée en contact avec certains cyber activistes proches des milieux separatistes qui ont dans un premier temps exigé 5 millions de francs cfa à Chancel Ako Takem avec à la clé la menace d,un sabotage mediatique dans les reseaux sociaux.

Source: www.camerounweb.com