Elle est adressée au Pdg du groupe l'Anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga à qui est attribuée une autre lettre anonyme devenue virale sur les réseaux sociaux destinée au ministre Philippe Mbarga Mboa. Selon certains observateurs, le groupe dénommé Boa'nbe Ongola n'aurait eu aucune peine pour y débusquer les méthodes du petit sociopolitiste. Il n'y a pas longtemps en effet, c'est le lobbyiste Olivier Magan qui était étiqueté dans un média du groupe comme un homme de peu vertu. Sauf que pour ce qui est de Philippe Mbarga Mboa, le groupe Boa'n be Ongola n'entend pas laisser que son digne fils soit trainé dans la boue par un individu aujourd'hui aux abois. Dans un communiqué radio-presse signé du porte-parole du Pdg du groupe l'Anecdote, Inès Arielle Zamo Belinga indique toutefois qu'ils ne se reconnaissent dans de pareils actes, mais évite soigneusement la préoccupa tion majeure contenue dans ladite correspondance anonyme, et se contente de faire ubuesquement l'auto-gloria du Pdg. Une frénésie luciférienne assez suspecte adossée sur ce qui apparait aujourd'hui comme des biens mal ac-quis, quand on sait que son patron a été incapable de répondre avec la même promptitude à une simple demande d'informations à lui adressée par le journal La Nouvelle, notamment sur ses frasques présumées sur la fortune publique, sans aucune intention de nuire, comme le recommande la déontologie. Qu'en dit Amougou Belinga de toutes ces graves accusations ? Aujourd'hui gagné par la panique, le sociopolitiste en peau de lapin de Nkoumadzap ne fait mieux que de trouver des boucs émissaires faciles à ses inepties. A savoir : Jacques Blaise Mvié dont le style rédactionnel, audessus de l'entendement du roitelet indigène (traduction française du Zomloa des Zomloa) est pourtant bien connu, ou encore le maire de Yaoundé 7, Augustin Tamba, connu depuis des lustres comme un irréductible de la noble élite du Mfoundi. Un aveu qui ne dit pas son nom. Voici dans son intégralité, le brûlot qui met le Pdg du groupe l'Anecdote et sa clique d'aboyeurs en transe, comme de petits diables plongés dans un bénitier. Lisez plutôt !
Dans le feu des dénonciations qui t'accablent depuis quelques
temps, une lettre ouverte signée d'un certain « Anù Ewondo »
circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Dans la communauté des fils et filles du Mfoundi, personne n'est dupe Nous savons que c'est
toi, Amougou Belinga, qui est le commanditaire de ladite lettre ouverte. Il n'y a pas longtemps en effet, ton bras séculier dans la presse, le journal L'Indépendant pour ne pas le citer, brocardait déjà le ministre Mbarga Mboa pour des raisons que tu connais. Et dans ta fameuse lettre ouverte, le patriarche Philippe Mbarga Mboa, digne fils du Mfoundi. ministre chargé de mission à la présidence de la République, est, une fois de plus, ta principale cible. Cette lettre ouverte t'est destinée. Ainsi qu'à tes mentors. Elle constitue également une mise en garde.
Tout le monde le sait, ta campagne pernicieuse contre le ministre Mbarga Mboa a pour objectif de tenter de détourner l'attention de l'opinion publique face à toutes ces rapines qui font de toi aujourd'hui un multmilliardaire. Peux-tu dire d'où te vient cette fortune qui te rend si « fou ». Tu as quelle industrie ? Nous avons déjà la traçabilité de tes biens et fonds mal acquis et t'empêcherons d'en jouir sur la terre de nos ancêtres.
Ce que tu dois désormais savoir, c'est que les fils et filles du Mfoundi regroupés au sein des « forces nouvelles » ont pris la ferme résolution de ne plus te laisser faire Dorénavant ils vont hurler avec les loups et sont prêts à t'attaquer de manière frontale et violente.
ICÔNE
Dans la folie de l'ivresse des détournements de deniers publics qui constituent ton sport favori, tu essayes désespérément d'obtenir une immunité en insultant sur la place publique, la mémoire de nos défunts ou encore en tentant de cogner les têtes des élites. Nous ne te laisserons plus faire. Tu
oses parier d'Omgba Damase comme un vulgaire individu, lui qui a toujours été pris en considération par plusieurs chefs d'Etat du monde dont le Président Paul Biya en premier.
Inculte
comme tu l'es, tu ne sais pas que c'est cet Omgba Damase que tu traines dans la boue qui a réglé de nombreux problèmes dans ce pays, et en Afrique ? Une icône à qui plusieurs chefs d'Etats d'Afrique et d'Europe ont décidé de faire confiance ! Qui es-tu pour insulter l'intelligence du Président Paul Biya qui a longtemps travaille avec ce patriarche que tu présentes comme un homme de peu de vertu ?
Pour rafraichir ta mémoire d'oiseau, ce sont les démarches entreprises par Omgba Da-mase qui ont abouti a la construction et au renforcement de notre sécurité aérienne. Tu ne peux donc pas parler de ce grand homme comme un vulgaire voyou, surtout quand on sait le travail qu'il a abattu pour un retour à la paix pendant les années de braises au Cameroun. Pour ta gouverne, Omgba Damase a eu une progéniture avec une princesse Douala, fille de Rudolph Douala Manga Bell, grande figure historique afri-caine, de qui est né
Félix Omgba Houphouët Boigny. En guise dinformation, ce du patriarche Omgba Damase a décidé de ne pas laisser impunément un énergumène de ton espèce marcher sur la mémoire de son père, que ce soit ici au Cameroun ou à l'étranger.
LIGNES 65 ET 94
Dans la folie de l'acharnement et la stupidité qu'on te reconnait, en dehors de ton agilité a voler les fonds publics. tu as confondu les agendas des dignes fils de ce pays. Nous n'avons pas besoin d'évoquer les affaires du fils du président de la République, que nous respectons tant.
En revanche, nous comprenons que tu retranscris les cauchemars de la bande a
Bader dont tu es la tête de gondole, et qui est à la recherche effrénée du pouvoir. Depuis nos ancetres,
Yaoundé a touiours soutenu le pouvoir en place et continuera inlassablement à le faire.
Multiplier les anima tions sur les plateaux de télévision au sujet d'une Can dont la qua lité de l'organisation a été saluée à l'unanimité par les experts compétents, et pour laquelle les services de l'Etat ont rendu leur rapport favorable, ne suffira pas pour éteindre le scandale du siècle sur les lignes 65 et 94 dont tu es le porte-étendard, encore moins les fameux procès fictifs dont tu as bénéficié des paiements.
Sans pudeur ni scrupule, ton scribe ano. nyme ne manque pas de salir la mémoire
d'Amougou Noma, figure emblématique du Mfoundi, bâtisseur dont les etats de service bien connus et que tes mentors et toi n'atteindront jamais à la che-ville. Dans la foulée de ta sortie vindicative portée par une main anonyme, tu salis la mémoire de Martin Aristide Okouda, premier sans second à l'Ecole des Arts et Métiers de Paris, et qui a fondé une famille bien connue. C'est avec ce même acharnement et dans ton incurie morale que tu as osé t'attaquer au patriarche Martin Mbarga Nguele, délégué général à la Sûreté nationale. Tes méthodes villageoises d'enfant mal élevé sont connues de tous. Cela ne devrait pas te donner le droit de parler de la fille du ministre Mbarga Mboa, un enfant de famille qui est en parfaite harmonie avec son pêre. Elle n'a pas du tout sollicité le soutien d'un individu attardé comme toi dont l'éducation est aux antipodes de la sienne.
Au juste qui sont tes enfants ? Quel est leur cursus ? Qui est ton père ? Ton obscur pedigree te donne-t-il le toupet de parler du ministre Mbarga Mboa, ce digne fils issu de la souche Essono Ella, vrai propriétaire autochtone de la ville de Yaoundé ? Tu es loin de le savoir.
Bel homme, envié de sa génération, à qui tout a reussi, Philippe Mbarga Mboa aura fini par attirer l'attention du président Paul Biya qui en a fait, l'un de ses plus proches collaborateurs et ceci, alors qu'il n'était même pas dans les couloirs politiques ou adminis-tratifs. Sa résidence est bien connue de tous et fait la fierté des fils et filles du Mfoundi.
Il n'y a que les haineux comme toi pour balancer des insanités sur ce digne fils du Mfoundi. Tu l'avais déjà fait dans les années 2005-2006, en maître-chanteur que tu es, à travers la publication de prétendues listes des homo-sexuels. Ce qui t'a permis d'arnaquer de nombreuses personnalités de la Répu-blique. Dans cette fameuse liste, tu evo-quais déjà le nom de Philippe Mbarga Mboa.
La récréation est désormais terminée. Les fils et filles du Mfoundi s'engagent à être dans le feu de l'action, afin de tempêcher, toi et tes mentors, dorénavant de trainer l'honneur de leurs fils et filles dans la boue, et de piétiner la mémoire de leurs héros défunts.
A bon entendeur.