Journée mondiale de l’habitat : Le Cameroun a célébré la 29ème édition

Social Housing1 Photo utilisée juste à titre d`illustration

Tue, 6 Oct 2015 Source: cameroon-tribune.cm

De communion avec la communauté internationale, le Cameroun a célébré lundi, la 29ème édition de la Journée mondiale de l’habitat. Placée sur le thème : « Espaces publics pour tous », la manifestation de cette année met un accent particulier sur la sensibilisation des populations afin qu’elles gardent intact l’environnement.

Le constat est clair. Les rues et les espaces publics ont souvent été négligés et sous-estimés, mais ils sont de plus en plus considérés comme l'épine dorsale des villes. A l’occasion de la 29ème édition de la Journée mondiale de l’Habitat, le ministre Jean Claude Mbwentchou était face à la presse pour expliquer les contours de cette célébration.

« Les beaux espaces publics facilitent la cohésion communautaire et engendrent le bonheur, la santé et le bien-être pour tous les citoyens. Ils encouragent également l’investissement, le développement économique et la protection de l’environnement », a précisé le ministre de l’Habitat et du Développement urbain. L’on retiendra aussi que les espaces publics et les rues bien conçus et bien gérés, sont un atout capital pour la viabilité et l’économie d’une ville.

La Journée mondiale de l’habitat se célèbre le premier lundi du mois d’octobre. Le but de ladite journée est de mener une réflexion sur l’état des villes et cités, et sur le droit fondamental de chaque individu à un logement décent. Elle a également pour objectif de rappeler aux uns et aux autres qu’ils ont tous la capacité et la responsabilité de construire l’avenir des villes.

Au Cameroun, les activités marquant la 29ème édition de la Journée de l’habitat vont se dérouler jusqu’à la fin du mois d’octobre. Pour le ministre Jean Claude Mbwentchou, ces activités permettront d’assurer la promotion de la cohésion communautaire et la sûreté pour tous les citoyens à travers la tenue des évènements dans les espaces publics et les rues.

Source: cameroon-tribune.cm