Cameroun / Logements sociaux : Ketcha Courtès remet les clés à 64 nouveaux acquéreurs

• La cérémonie a eu lieu à Douala en présence des autorités

• Il s'agit de la 8 ème cérémonie nationale de remise des clés des logements sociaux

• Les acquéreurs, résident à Mbanga-Bakoko à Douala ont reçu ces clés des mains du Ministre de la ville



C'est la 4ème cérémonie de remise des clés des logements sociaux de Mbanga-Bakoko à Douala, sous la présidence de madame le ministre de l'habitat et du développement urbain, Célestine Ketcha Courtès, en présence du gouverneur de la région du Littoral, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.

Cette cérémonie de plus, témoigne de la volonté du gouvernement de la République, à œuvrer activement pour la finalisation de ce vaste programme gouvernemental de construction de 10 000 et d'aménagement de 50 000 parcelles constructibles.

Et pour manifester la transformation positive de cette nouvelle cité de Mbanga-Bakoko, où la vie qui a véritablement pris corps, les acquéreurs, locataires et propriétaires, se sont organisés en regroupements, parmis lesquels, l'Association des copropriétaires pour le développement de la cité des logements sociaux de Mbanga-Bakoko (ACODECIL-MB), le comité de développement de la cité SIC de Mbanga-Bakoko (CODESIMBAB), ou encore l'Association des jeunes sportifs de la cité de Mbanga-Bakoko.

Au regard de la joie qui transparaît sur les visages de ces 64 familles désormais logées décemment, madame le ministre Célestine Ketcha Courtès, annonce la poursuite permanent de ces cérémonies de remises de clés aux familles, chaque fois que de nouveaux immeubles seront réceptionnés, aussi bien à Douala et à Yaoundé.

A cet effet, des félicitations gouvernementales ont été solennellement adressées à l'entrepreneur camerounais, Moulongo Oscar, pour son engagement à accompagner cette grande vision du chef de l'État.

Vivement que les autres entreprises mobilisées sur ces différents immeubles en chantier, de même que les concessionnaires ENEO et Camwater, accélèrent les travaux de jour comme de nuit, afin de respecter scrupuleusement les délais contractuels, sous peine de résiliation pure et simple, suivant les très hautes instructions du président de la République, Paul Biya.