Ce week-end, une photo inédite montre deux têtes de bœuf fraîchement égorgées, déposées sur une étoffe rouge où traînent entre autres, les photos du président de la République et de son épouse non loin de celle du secrétaire générale de la présidence de la République (Sgpr), déposée sur le pic de la corne. Ce tableau pittoresque et macabre à la fois, non seulement fait le buzz sur la toile mais aussi charrie une vive émotion dans les forums sur le net. Œuvre des officines politiciennes assignées à les nuire les adversaires politiques ou bien un acte réel grandeur nature de pratique mystico-politique ? La balle est lancée et elle est à qui la saisira au rebond. Tout de même, que viennent chercher les photos du couple présidentiel dans cette sombre affaire ? Et le Sgpr, en plaçant sa photo sur le pic de la corne, quelles sont les intentions inavouées ? Une volonté ou une prédiction de l’écorner ? Dans quels intérêts et à quelles fins ? Qu’on le veuille ou pas, cette image ubuesque trahit une once du parfum infernal qui embaume les hauteurs de la Républiques. Cette photo, le lieu du sacrifice est indéterminé, parle à tous les Camerounais qui pour beaucoup s’interrogent sur la place des pratiques ténébreuses dans la politique. Puisque sur la scène, les acteurs ciblés sont des personnalités de premier ordre du pays, on est en droit de se questionner sur les visées politiques espérées ou attendues. Une autre préoccupation est non des moindres est de se demander pourquoi exécuter cette pratique ésotérique sur la place publique un peu comme si le but était plus un message porté que tout autre chose ? Et ça continue, ce jeu malsain de massacre à ciel ouvert où les personnalités de l’Etat se donnent des coups sans coup férir ! Il faudrait à la vérité reconnaitre que les batailles gagnent en intensité au point où cette fois ci, la photo de Paul Biya se retrouve au carrefour. C’est monté d’un cran, et désormais, c’est au N’non Ngui de siffler la fin des réseaux qui s’affrontent et menacent sur le coup de déstabiliser toute la sérénité d’un pays. Le sifflet, l’arme fatal que détient le chef de l’Etat, est le remaniement ministériel qui va mettre tout le monde d’accord ou à sa véritable place. C’est croit-on savoir, du reste l’objet de toutes ces batailles souterraines. Toujours ce week-end, la toile a été secouée par le fake de la mort d’un ministre du gouvernement. A qui profite l’intox ? La semaine dernière, on n’en pouvait plus avec des annonceuses pompeuses de la convocation du Sgpr au Tcs, et même de l’annonce de son arrestation. Qu’importe ce qu’on peut en penser, la bataille de déstabilisation fait rage au point où on se demande quelle sera la destination finale. Au sein du parlement, et particulièrement à l’Assemblée nationale, la situation n’est guère différente. Un questeur du bureau de la Chambre a été accusé de trafic d’armes dans un pays étranger avant qu’on apprenne par la suite qu’il s’agissait d’un fake pour salir cet élu du peuple de l’Extrême-Nord. Comme on le voit, la gangrène fait son chemin, lentement mais sérieusement, tant et si bien qu’à défaut d’une prompte réaction du N’nom Ngui, l’autorité de ses proches collaborateurs serait tellement écornée, salie, brocardée qu’il serait difficile aux yeux du peuple de leur accorder une once de crédit de confiance. Heureusement que tout ceci peut se tasser en jour, un seul Décret de réaménagement de l’équipe gouvernementale, et voilà la balle au centre, ronde pour tous. Et la partie recommence.
Ce week-end, une photo inédite montre deux têtes de bœuf fraîchement égorgées, déposées sur une étoffe rouge où traînent entre autres, les photos du président de la République et de son épouse non loin de celle du secrétaire générale de la présidence de la République (Sgpr), déposée sur le pic de la corne. Ce tableau pittoresque et macabre à la fois, non seulement fait le buzz sur la toile mais aussi charrie une vive émotion dans les forums sur le net. Œuvre des officines politiciennes assignées à les nuire les adversaires politiques ou bien un acte réel grandeur nature de pratique mystico-politique ? La balle est lancée et elle est à qui la saisira au rebond. Tout de même, que viennent chercher les photos du couple présidentiel dans cette sombre affaire ? Et le Sgpr, en plaçant sa photo sur le pic de la corne, quelles sont les intentions inavouées ? Une volonté ou une prédiction de l’écorner ? Dans quels intérêts et à quelles fins ? Qu’on le veuille ou pas, cette image ubuesque trahit une once du parfum infernal qui embaume les hauteurs de la Républiques. Cette photo, le lieu du sacrifice est indéterminé, parle à tous les Camerounais qui pour beaucoup s’interrogent sur la place des pratiques ténébreuses dans la politique. Puisque sur la scène, les acteurs ciblés sont des personnalités de premier ordre du pays, on est en droit de se questionner sur les visées politiques espérées ou attendues. Une autre préoccupation est non des moindres est de se demander pourquoi exécuter cette pratique ésotérique sur la place publique un peu comme si le but était plus un message porté que tout autre chose ? Et ça continue, ce jeu malsain de massacre à ciel ouvert où les personnalités de l’Etat se donnent des coups sans coup férir ! Il faudrait à la vérité reconnaitre que les batailles gagnent en intensité au point où cette fois ci, la photo de Paul Biya se retrouve au carrefour. C’est monté d’un cran, et désormais, c’est au N’non Ngui de siffler la fin des réseaux qui s’affrontent et menacent sur le coup de déstabiliser toute la sérénité d’un pays. Le sifflet, l’arme fatal que détient le chef de l’Etat, est le remaniement ministériel qui va mettre tout le monde d’accord ou à sa véritable place. C’est croit-on savoir, du reste l’objet de toutes ces batailles souterraines. Toujours ce week-end, la toile a été secouée par le fake de la mort d’un ministre du gouvernement. A qui profite l’intox ? La semaine dernière, on n’en pouvait plus avec des annonceuses pompeuses de la convocation du Sgpr au Tcs, et même de l’annonce de son arrestation. Qu’importe ce qu’on peut en penser, la bataille de déstabilisation fait rage au point où on se demande quelle sera la destination finale. Au sein du parlement, et particulièrement à l’Assemblée nationale, la situation n’est guère différente. Un questeur du bureau de la Chambre a été accusé de trafic d’armes dans un pays étranger avant qu’on apprenne par la suite qu’il s’agissait d’un fake pour salir cet élu du peuple de l’Extrême-Nord. Comme on le voit, la gangrène fait son chemin, lentement mais sérieusement, tant et si bien qu’à défaut d’une prompte réaction du N’nom Ngui, l’autorité de ses proches collaborateurs serait tellement écornée, salie, brocardée qu’il serait difficile aux yeux du peuple de leur accorder une once de crédit de confiance. Heureusement que tout ceci peut se tasser en jour, un seul Décret de réaménagement de l’équipe gouvernementale, et voilà la balle au centre, ronde pour tous. Et la partie recommence.