Le nombre de cadavres découverts ces dernières soixante-douze (72) heures est alarmant au Cameroun. Des parties précises des corps sans vie des victimes sont emportées par les auteurs des crimes pour des rituels selon toute vraisemblance.
Ces actes criminels refont leur apparition dans une période qui n’est pas du tout loin des fêtes de fin d’année. De quoi faire paniquer la population mais surtout suffisant pour rendre les citoyens plus éveillés et prudents.
L’avocat camerounais au barreau de Paris Me Christian Bomo Ntimbane tient à attirer l’attention de ses compatriotes sur la situation, de telle sorte que tout le monde puisse tenir une attitude de personne avisée.
Alerte au retour des crimes rituels sur des jeunes filles
Depuis quelques jours, de nombreuses jeunes filles, plus d'une dizaine, selon certaines sources sont portées disparues.
Environ sept (07) d'entre elles ont été retrouvées mortes, leurs organes génitaux sectionnés et emportés.
Ces événements macabres nous rappellent les morts avec extraction d'organes génitaux de plus d'une vingtaine de jeunes filles dont quinze (15) dans la seule ville de Yaoundé. C'était en 2012-2013.
A ce jour, l'opinion publique ne sait exactement à quel niveau se situent ces affaires. Ce sont des crimes rituels.
Ce phénomène est régulièrement décrié au Gabon par les populations comme étant des pratiques des personnes proches du pouvoir ou qui aspirent à diriger où se maintenir au pouvoir.
Nous appelons donc les jeunes filles camerounaises et les populations à plus de vigilance. Ces assoiffés de réussite matérielle et de puissance sont prêts à tuer pour assouvir leurs sombres desseins.
Un internaute répond à la publication de Me Christian Bomo Ntimbane de façon très inquiétante : « C'est ça le tribunal militaire de Douala. De la réaction des autorités de Guinée Equatoriale. Des condamnations en série au tribunal militaire de Douala ».
Mais dit-il, « Me Christian Bomo Ntimbane, ce sont les gars de ton... camp politique. Tes amis et frères qui se rêvent de succéder à nnomgui décédé depuis le 25 mars 2020. Et je sais de quoi je parle. Auteur de la plainte au tribunal militaire de Douala et partie civile (donc accès au dossier). C'est autour de toi les coupables ».