Cameroun : mauvaise nouvelle pour Brenda Biya

Le lanceur d’alerte N’zui Manto a toujours dénoncé les agissements jugés contre nature de Brenda Biya, fille du président de la République Paul Biya. La dernière attaque repose sur la déclaration amoureuse de Brenda Biya à sa partenaire.

Brenda et son amoureuse estiment qu’une bonne partie de l’opinion publique s’acharne contre elles. Dans une récente sortie, le membre de la famille présidentielle a écrit par rapport à ses yeux que « j’ai les yeux comme ça à cause de l’hyperthyroïdie que j’ai eue pour une bonne partie de ma vie. C’est une cause de cette maladie. Alors non malheureusement, c’est de la diffamation ».

Manto garantit que non : « King Nasty (surnom de Brenda Biya, ndlr) a réagi à l'une de mes publications la concernant et sa fiancée affirmant que mes déclarations étaient fausses et que la taille de ses yeux n'est pas due à une quelconque intervention chirurgicale esthétique ratée », écrit la source sur la blogosphère.

Dans son texte à charge, l’activiste a mentionné le magazine brésilien VivaBem qui, le 22 janvier 2024 à 11 heures et 17 minutes, a produit un article dans lequel on retrouve ces phrases : « Sa petite amie, Anastasia Brenda Biya Eyenga, la fille du président du Cameroun, avait déjà effectué la procédure aux États-Unis en utilisant une technique différente. Mais le résultat a été traumatisant, elle a même perdu une grande partie de sa vision ».

La source brésilienne parlait alors du mannequin brésilien Layyons Valença, actuelle partenaire de Brenda Biya, qui « a suscité la controverse sur les réseaux sociaux après avoir subi une intervention chirurgicale pour changer la couleur de ses yeux. À 24 ans, elle a fait une kératopigmentation, changeant la couleur de son look du brun au bleu ».

On y découvre également que Layyons a subi l'opération il y a un an à Genève, en Suisse. La procédure a coûté environ 45 mille R$. « Avec mes yeux bruns, qui est ma couleur naturelle, je ne m'identifiais pas, je ne pouvais pas me regarder (…) », disait la concernée. Ce serait elle et la même procédure que Brenda Biya suivrait, même si elle le nie jusqu’ici.