Un fait divers croustillant. Un préfet, tout un préfet en maître cuisinier dans la cité universitaire d’une université d’État du Cameroun.
Un préfet est un dirigeant placé à la tête d’un département au Cameroun, et représentant l’autorité centrale, une incarnation de la présence du président de la République.
Pour des raisons évidentes, nous avons choisi de taire l’identité de ce préfet, ainsi que celle de l’université concernée. Ce qui semble plus important, c’est d’essayer de comprendre ce charme qui attire tant de hautes personnalités, notamment administratives, auprès de jeunes filles, notamment des étudiantes dont l’âge varie entre 18 et 22 ans. C’est le cas d’un préfet pris dans le charme d’une jeune étudiante camerounaise, et qui s’est trouvé obligé de peler des pommes de terre dans la chambre occupée par celle-ci, pour le repas du jour.
L’élite administrative camerounaise a-t-elle succombé au charme des jeunes starlettes des universités ? Pour certains, ces hauts responsables administratifs tombés sous les charmes juvéniles (juvénilisantes ?) de jeunes étudiantes aussi belles qu’indiscrètes, exposent les grands secrets du gouvernement, à la connaissance du public.
Bien plus, il n’est pas inutile de se demander pourquoi ces hommes qui constituent l’élite administrative, sont infiniment plus tendres avec leurs jeunes et frêles maîtresses des universités, et sont plutôt rugueux, désobligeants et distants envers leurs propres épouses ?
Cette tendance de l’élite administrative du Cameroun à s’amouracher éperdument des jeunes étudiantes, est-elle une dérive de la société ? De toute façon, la haute société camerounaise est sous l’emprise du charme des jeunes maîtresses, notamment les étudiantes.