Cameroun : un vaste cabinet noir de diabolisation de Ngoh Ngoh démantelé, des milliards engrangés

• Il s’agit des allégations rapportées par le Quotidien Réalités Plus

• Ce cabinet noir serait en place depuis 2011

• L’objectif est de saboter le DG/PR auprès de Paul Biya



Par Décret N°2011/413 du 09 décembre 2011 portant nomination du secrétaire général de la Présidence, Paul Biya faisait en cette date, Ferdinand Ngoh Ngoh, le Secrétaire général de la ¨Présidence. Depuis 2011, donc, ce diplomate a été élevé au rang de ministre d'État au sein du premier Gouvernement Joseph Dion Ngute avec délégation de signature du chef de l'Etat. Bientôt 11 ans qu’il est indéboulonnable à ce poste. Mais, il a dû faire face à une vague de contestation, de diatribe, de critique et même de calomnie. Le Quotidien Réalités Plus dans sa livraison de ce 9 mars croit savoir qu’il y a un cabinet noir qui alimente les campagnes de diabolisation. Selon les informations exclusives données par ce journal, plusieurs milliards auraient donc servi à gérer, journaliste et influenceurs qui alimentent cette entreprise.

Insulter Ngoh Ngoh paye bien, sommes-nous tenté de dire à la lecture de la manchette du journal Réalités Plus.

« Ils sont à Yaoundé et à Douala et cachés dans les latrines des blancs en Europe. Ils ont un Directeur de Rédaction. Mission spéciale confiée à tous ; mentir et salir le SG/PR chaque jour, noircir son image pour pousser Paul Biya à se séparer de lui : ce qu’ils gagnent.

- Une grande UNE contre Ngoh Ngoh dans un quotidien : 2 millions

- Une grande UNE dans un hebdomadaire, 500.000

- Soutien aux radios et Tv qui chiffonnent le SG/PR 2 millions par trimestre

- Ils gagnent des marchés et ont des cartons de carburant mensuels

- Les influenceur tapis à l’étranger perçoivent 1 million par message incendiaire sur le net contre le SG/PR

- Ils vont jouer à Kribi avec leur copine aux frais de leur soutien

- D’autres se sont tapés des villas et mini-cités, retombées des campagnes de sabotage contre Ngoh Ngoh », lit-on sur le journal.

L’on n’est pas dans les secrets des dieux, seulement, beaucoup doutent de la véracité de ces allégations.