C’est un fait divers dans lequel il y a mort d’homme. Mais manifestement, la justice devrait sans doute se montrer indulgente, pour ne pas dire clémente envers la meurtrière qui est la première victime dans cette histoire assez rocambolesque.
Nous sommes à Baleveng , une localité de la Région de L'ouest Cameroun. Là, une famille a frôlé le drame absolu. En effet, selon le récit du lanceur d’alerte Nzui Manto, alors que le chef de famille venait de quitter à l’eau sa maison à la recherche du pain quotidien, deux individus s’introduisent chez lui au quartier Touza. Ils trouvèrent ainsi, à 3 heures du matin, la femme seule dans la concession.
Venus pour braquer la maison, l’un des malfrats s’est empressé d’aller vers le butin, après s’être renseigné sur sa position. Le second, plus impulsif, demandera à se servir du second butin disponible (la femme).
Mais par une ruse absolue, la femme aura une ingénieuse idée pour mettre le pervers sexuel hors d’état de nuire.
« Il est 3 heures du matin lorsque monsieur prend congé du lit conjugal à la recherche du pain quotidien. Alors que madame à peine enfile son soutien-gorge et son caleçon, deux malfrats vont faire irruption dans la chambre lui donnant des hautes instructions de rester en tenue d'Adam et Ève. L'un s'occupera d'emblée de l'argent de la rentrée scolaire disposé dans un meuble de la chambre tandis que l'autre, le troisième pied surtendu comme un grand-écart de Jean-Claude Van dame convoitera avec insistance le gésier d'autrui."Tu sais que aujourd'hui manger l'affaire là sans sucer d'abord ça n'a pas le goût nor ? Viens alors me donner tes bonbons là je suce ça !"
Dit madame rusée comme un lièvre ! », raconte le lanceur d’alerte dans son style assez amusant.
« Alors que le malfrat tout joyeux, ramenant ses noyaux à madame, un coup de molaires, de canines et d'incisives vont broyer ses testicules le mettant permannement K.O! Ce sont ses cris de détresse qui éloigneront son complice vers la brousse en pleine tangente l'abandonnant à la merci de madame qui le pilera à l'aide d'un gourdin jusqu'à ce que mort s'en suive », précise Nzui Manto.