Les autorités pénitentiaires
Situation d'alerte maximale dans le quartier féminin de la prison centrale de Kondengui au Cameroun. Cette alerte a été déclenchée en réponse à la publication de photos de Dame Djanabou et de ses deux enfants. Ces images ont été partagées sur les réseaux sociaux, et elles ont suscité un vif émoi et de nombreuses préoccupations.
Les photos révèlent des conditions de détention inhumaines pour la femmes et ses enfants qui se trouvent en prison. La situation a provoqué une réaction immédiate des autorités carcérales, qui ont mis en place une alerte maximale dans le quartier féminin de la prison.
Notre source indique que le quartier féminin de la prison de Kondengui fait actuellement l'objet d'une fouille approfondie. Cette action a été entreprise pour découvrir comment ces photos ont pu être publiées et identifier la personne à l'origine de cette fuite. Cette révélation a exposé ce qui est qualifié de l'un des plus grands scandales judiciaires de l'année.
L'affaire concerne une femme nommée Djanabou, originaire de la région de l'Extrême-Nord du Cameroun, qui avait été arrêtée sous l'accusation de vol de téléphone. Cependant, les photos semblent suggérer que les conditions de détention de Djanabou et des autres femmes sont très préoccupantes.
La source pose également des questions sur les circonstances qui ont conduit à la détention de ces femmes et enfants en prison, ainsi que sur l'implication des autorités judiciaires locales. Les détails restent flous, mais la situation a suscité l'indignation et l'inquiétude.
Enfin, on mentionne que des avocats bénévoles, dirigés par Me Cheikh Ali Assad se sont mobilisés pour soutenir cette victime du système judiciaire camerounais. Ils ont choisi de fournir leur aide gratuitement (pro Bono) pour aider à résoudre cette affaire et défendre les droits des détenues.
