Le bras de fer entre le comité exécutif de la Fécafoot et le gouvernement camerounais se poursuit, avec un Samuel Eto'o plus teigneux que jamais.
Ce bras de fer bipolarise l'opinion nationale. On a d'un côté, les soutiens de Samuel Eto'o. Et de l'autre, ceux qui soutiennent qu'on ne défie par l'Etat.
L'artiste Ben Decca qui soutient Samuel Eto'o a écrit dans une publication qu'il ne comprend pas pourquoi Eto'o qui est adulé et recherché dans le monde entier et en particulier par le président Poutine, est autant combattu avec haine par le régime de Yaoundé.
Cette sortie de l'artiste n'a pas du tout plus à Patrick Duprix Anicet Mani.
Dans une publication, il explique à Ben Decca que si c'était Poutine qui était le, président du Cameroun, il y a longtemps que Samuel Eto'o aura été tué.
"À mon artiste camerounais favori Ben Decca, je suis convaincu que nous devons remercier Dieu qu'il soit d'ici et non d'ailleurs. Dans d'autres contrées, telles que celle où Poutine exerce son autorité et avec qui il est photographié, il aurait pu se retrouver dans un accident d'avion ou de voiture, ou encore emprisonné, car Poutine n'accepte aucune contestation de ses instructions. Le pouvoir du Président russe est absolu; ses instructions doivent être appliquées sans discussion ni négociation", écrit-il.