Cette photo de Samuel Eto'o et sa fille créé une forte sensation

• L'image fait jaser la toile

• C'est l'anniversaire de la fille de Samuel Eto'o

• Eto'o a partagé l'image en story



La photo de Samuel Eto'o créé la sensation sur la toile. Il y a quelques heures, le président de la fédération camerounaise de football a partagé une photo sur son story Facebook, un publication qui fait sensation.

Il s'agit en effet d'une image de Samuel Eto'o et de sa fille. On peut comprendre clairement qu'il s'agit d'un jour heureux pour cette dernière qui fête son anniversaire.

'Happy birthday', peut on lire sur la photo de Samuel Eto'o qui donne un baiser à sa fille. Comme toujours, la sensation est forte sur le story du Pichichi et les commentaires n'en manquent pas.



'Il manque la prison à Eto'o pour jeter tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui'

Acclamé par certain, Samuel Eto'o est pour d'autres un petit dictateur qui ne supporte pas tous, ceux qui ne sont pas d'accord avec lui.

Pour un moindre désaccord dans le cadre de sa vision de la Fécafoot, ou la mise en œuvre d'un projet, Samuel Eto'o radie ou suspend ses collaborateurs.

La session de la Fécafoot ouverte hier vendredi et qui a accouché de plusieurs décisions radiant de l'instance, quelques un de ses membres, fait couler beaucoup de salives.

Dans une publication, Joseph Emmanuel Ateba, Porte-parole du MRC, a comparé Eto'o à Paul Biya.

"En quoi la Fécafoot est-elle différente du régime Biya? Il lui manque seulement la prison pour jeter tous ceux qui ne sont pas d'accord avec son président", écrit le porte-parole du MRC.

Joseph Emmanuel Ateba n'est pas le seul à critique la décision de Samuel Eto'o d'avoir radié des membres de la Fécafoot dont le journaliste Guibai Gatama.

"Si Paul BIYA radiait tous ceux qui s'opposent à lui ou critiquent sa gestion, le Cameroun compterait moins de 10 millions d'habitants aujourd'hui. Celui qui ne supporte pas la critique ne peut pas savourer les encouragements sincères, loin du fanatisme béat! Merci de nous avoir dévoilé ce visage intolérant, Jupitérien et dictateur!", écrit Patrick Duprix Anicet Mani pour sa part.