Chantage : le vice-consul de France s'est suicidé suite à un scandale de pédophilie

La nouvelle du décès du Français fait le tour des médias traditionnels ainsi que des réseaux sociaux depuis des heures maintenant. Le haut fonctionnaire s'est donné la mort au domicile où il habitait à Douala, dans la capitale économique.

Son corps sans vie a été retrouvé dans le désordre total, une corde au cou. Il n'y avait plus rien à faire pour lui, c'était trop tard malheureusement pour tout le monde.

Chacun à son niveau se posait des questions dont la principale est qu'est-ce qui a bien pu se passer pour que ce dignitaire décide de mettre un terme à son existence sur terre. Zut alors !

La question vaut son pesant d'or, surtout qu'il n'y a aucun problème auquel on ne trouve pas de solutions, se convainc-t-on assez souvent. Le fait est que des situations étranges se passent au consulat de France au Cameroun depuis un moment maintenant.

Des visas sont offerts comme des petits pains, aussi curieux que cela puisse paraître. Ce qu'on ignorait, c'est que quelqu'un avait un moyen de pression énorme sur le désormais défunt vice-consul.

Ce quelqu'un a fini par pousser le bouchon très loin et Christian Hue n’a pas voulu récolter la honte de ses faits et gestes, et surtout pas salir le nom de son pays. Sa mort engendre donc une fin de l’affaire, en tout cas c’est ce dont il s’est convaincu avant de passer à l’acte fatal.

Nous avons appris d’une source sûre que monsieur Hue était contraint de faire tout ce qu’on lui disait parce qu’on avait, semble-t-il, des fichiers extrêmement compromettants contre lui qui montraient clairement qu’il était un pédophile.

Autrement dit, il sentait que le piège s’est refermé sur lui et avant que l’histoire ne s’ébruite ou n’arrive aux oreilles de ses supérieurs hiérarchiques, il a décidé d’en finir.

Mais c’est du balaise ce qu’on a contre lui, sinon il ne se serait pas offert la mort si facilement, dans la stupeur totale. Nous y reviendrons prochainement avec le nom du chanteur et plus de détails encore.