Une journaliste de Reuters et son chauffeur son aux arrêts et détenus à Douala. Rien ne filtre sur les motifs de leur arrestation, l’information est confirmée par l’agence de presse qui exige par ailleurs leur « libération immédiate ».
A quelques heures de la proclamation officielle des résultats de la présidentielle du 7 octobre passé, la tension monte à Yaoundé, Douala et dans certaines villes du pays.
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Des meetings sont interdits dans plusieurs villes. Et pour les autorités c’est pour éviter les dérapages et qu’une nouvelle crise ne s’ajoute à la crise anglophone qui dure depuis 2016.
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